回答问题怎么读英语

回答问题怎么读英语,第1张

回答问题怎么读英语

answer the question

英[ˈɑ:nsə ðə ˈkwestʃən]

美[ˈænsɚ ði ˈkwɛstʃən]

[词典] 回答问题; [俚语] (参赛的马在赛前测试时) 跑得很好;

[例句]Just answer the question

只回答问题。

回答问题英语

question answering

或者是 answer the question

回答问题英语怎么说

answer the question

希望对你有帮助!

英语阅读回答问题50篇

Last month the manager of a jewelry shop ( 珠宝店) received a letter As he was very busy then, the letter lay on his desk till tea-time He opened it and a 10-pound note(票 ) fell out onto the desk Within the note was a letter which said:

Dear sir:

In 1935 I got engaged(订婚 ) But unfortunately I lost my job At the time a lot of people were out of work Six months later I got a job again, but of course I was very short of money I came to your shop to buy a wedding ring(婚戒 ) The assistant took out some rings for me to look at, but she was called away for a moment, and I put one of the rings in my pocket When she came back, I said I didn’t know the size of my girl’s finger So I left the shop without buying a ring My wife died a short while ago and the fact that I never paid for the ring has been heavy in my heart all these years At that time, the ring cost 2 pounds so I think it is 10 pounds at today’s price and I’m sending 10 pounds

Your truly,

A customer

()1The customer didn‘t write the letter until ________

Ahe has dring Bhis wife ’s death C he has enough money D he got a job again

()2What happened in the passage ?

AThe jewelry shop lost some rings

BThe customer got lost

CThe customer bought a ring for his wife

DThe customer stole a ring for his girl friend

3Which of the following is Not true ?

AThe customer was poor at that time

B、The ring was bigger for his girl friend

CThe shop assistant was careless

DThe customer was too poor to buy a ring for his girl friend

答案:BDB

不晓得你是什么文化程度啊

英语回答问题 When is Army Day ( )

The first day of August is Army Day

八月的第一天是建军节。

拼读单词 ;回答问题;用英语怎么说

spell and read the words

answer the questions

,谢谢

译苦思甜团队成员

‘’回答问题 ‘’ 用英语怎么表示?

answer question

arethereanycartoonsontvnew怎么用英语回答问题

Yes, there are 肯定回答

No, there aren't 否定回答

英语回答问题have you got a dog

Yes,I have/No,I haven't

求英语高手回答问题

I'll / ail /

I've / aiv/

I'd / aid/

加油!不明白再问!如果帮到你,请及时采纳,谢谢!

1、李厚霖,1973年2月10日出生于天津市蓟州区,HIERSUN(恒信)钻石机构创始人、董事长、I Do基金创始人,北京大学工商管理硕士、中国珠宝玉石首饰行业协会副会长、中华全国工商业联合会金银珠宝业商会副会长、中华慈善总会理事。

2、李厚霖因其卓越的品牌创新能力和对中国珠宝行业的推动性影响,一直以来被视为中国珠宝行业的先行者。李厚霖领导的HIERSUN(恒信)钻石机构是国内最早进入钻石行业的企业之一,旗下拥有HIERSUN(恒信)、I Do、ooh Dear三个钻饰品牌。自HIERSUN(恒信)品牌成功创立以来,李厚霖以其国际化的视野、前瞻性的经营理念,带领HIERSUN(恒信)钻石机构迅速发展为中国珠宝行业的领军企业。

3、1999年,HIERSUN(恒信)钻石机构创行业之先河,重金打造亚洲首个超大规模概念体验店——HIERSUN(恒信)钻石宫殿,成为国际化专业钻石珠宝零售中心。HIERSUN(恒信)品牌创立之初便吸引了许多国际殿堂级珠宝设计大师为其品牌打造非凡的珠宝珍品。HIERSUN(恒信)用品位和尊贵演绎其奢华内涵,展现国际一流的高端。在李厚霖的带领下,在全球互联网经济及网络电子购物的发展趋势中,率先开创了面向年轻时尚群体的ooh Dear“定制钻石礼物”品牌,I Do已成为都市白领阶层结婚及珍稀情感表达的钻饰首选,其时尚的欧洲设计和珍贵的情感内涵也被众多名人、明星追捧。

4、在李厚霖的积极安排和推动下,HIERSUN(恒信)钻石机构在不断发展、投身社会公益事业的同时,还致力于推动整个中国珠宝行业教育源头的发展,先后在中国地质大学、中央美术学院等多所艺术高校设立专项奖学金,奖励优秀的设计人才,为整个行业的未来进行人才储备。

对于我而言,国内的一些珠宝品牌项链就很不错,比如周大福、周生生、六福珠宝等等都是香港知名牌子,买给你女朋友,绝对不会丢面子,前几天我男朋友送给我的生日礼物就是六福珠宝家的「dear q」系列项链,设计上甜美又俏皮,我真的太喜欢了,听说9月份六福珠宝家举办了周年庆,优惠力度大,我打算到时候再去门店逛一逛,如果合适的话,再买一条手链做搭配。

没有德文,莫泊桑是法人,只有法语希望喜欢^_^

[法语阅读] 名著:项链

La Parure

C'était une de ces jolies et charmantes files, knees, comme par une erreur du destin, dans une famille d'employés Elle n'avait pas de dot, pas d'espérances, aucun moyen d'être connue, comprise, aimée, épousée par un homme riche et distingué; et elle se laissa marier avec un petit commis du ministère de l'Instruction publique

Elle fut simple, ne pouvant être parée, mais malheureuse comme une déclassée; car les femmes n'ont point de caste ni de race, leur beauté, leur grâce et leur charme leur servant de naissance et de famille Leur finesse native, leur instinct d'élégance, leur souplesse d'esprit sont leur seule hiérarchie, et font des filles du peuple les égales des plus grandes dames

Elle souffrait sans cesse, se sentant née pour toutes les délicatesses et tous les luxes Elle souffrait de la pauvreté de son logement, de la misère des murs, de l'usure des sièges, de la laideur des étoffes Toutes ces choses, dont une autre femme de sa caste ne se serait même pas aperçue, la torturaient et I'indignaient La vue de la petite Bretonne qui faisait son humble ménage éveillait en elle des regrets désolés et des rêves éperdus Elle songeait aux antichambres nettes, capitonnées avec des tentures orientales, éclairées par de hautes torchères de bronze, et aux deux grands valets en culotte courte qui dorment dans les larges fauteuils, assoupis par la chaleur lourde du calorifère Elle songeait aux grands salons vêtus de soie ancienne, aux meubles fins portant des bibelots inestimables, et aux petits salons coquets parfumés, faits pour la causerie de cinq heures avec les amis les plus intimes, les hommes connus et recherchés dont toutes les femmes envient et désirent l'attention

Quand elle s'asseyait, pour dîner, devant la table ronde couverte d'une nappe de trois jours, en face de son mari qui découvrait la soupière en déclarant d'un air enchanté: «Ah! le bon pot-au-feu! je ne sais rien de meilleur que cela, elle songeait aux dîners fins, aux argenteries reluisantes, aux tapisseries peuplant les murailles de personnages anciens et d'oiseaux étranges au milieu d'une forêt de féerie; elle songeait aux plats exquis servis en des vaisselles merveilleuses, aux galanteries chuchotées et écoutées avec un sourire de sphinx, tout en mangeant la chair rose d'une truite ou des ailes de gélinotte

Elle n'avait pas de toilettes, pas de bijoux, rien Et elle n'aimait que cela; elle se sentait faite pour cela Elle eût tant désiré plaire, être enviée, être séduisante et recherchée

Elle avait une amie riche, une camarade de couvent qu'elle ne voulait plus aller voir, tant elle souffrait en revenant Et elle pleurait pendant des jours entiers, de chagrin, de regret, de désespoir et de détresse

Or, un soir, son mari rentra, l'air glorieux et tenant à la main une large enveloppe

-Tiens, dit-il, voici quelque chose pour toi

Elle déchira vivement le papier et en tira une carte qui portait ces mots:

"Le ministre de l'Instruction publique et Mme Georges Ramponneau prient M et Mme Loisel de leur faire l'honneur de venir passer la soirée à l'hôtel du ministère, le lundi 18 janvier"

Au lieu d'être ravie, comme l'espérait son mari, elle jeta avec dépit l'invitation sur la table, murmurant:

- Que veux-tu que je fasse de cela

- Mais, ma chérie, je pensais que tu serais contente Tu ne sors jamais, et c'est une occasion, cela, une belle! J'ai eu une peine infinie à l'obtenir Tout le monde en veut; c'est très recherché et on n'en donne pas beaucoup aux employés Tu verras là tout le monde officiel

Elle le regardait d'un oeil irrité, et elle déclara avec impatience:

- Que veux-tu que je me mette sur le dos pour aller là

Il n'y avait pas songé; il balbutia:

- Mais la robe avec laquelle tu vas au théâtre Elle me semble très bien, à moi

Il se tut, stupéfait, éperdu, en voyant que sa femme pleurait Deux grosses larmes descendaient lentement des coins des yeux vers les coins de la bouche; il bégaya:

- Qu'as-tu qu'as-tu

Mais, par un effort violent, elle avait dompté sa peine et elle répondit d'une voix calme en essuyant ses joues humides:

- Rien Seulement je n'ai pas de toilette et par conséquent, je ne peux aller à cette fête Donne ta carte à quelque collègue dont la femme sera mieux nippée que moi

Il était désolé Il reprit:

- Voyons, Mathilde Combien cela coûterait-il, une toilette convenable, qui pourrait te servir encore en d'autres occasions, quelque chose de très simple

Elle réfléchit quelques secondes, établissant ses comptes et songeant aussi à la somme qu'elle pouvait demander sans s'attirer un refus immédiat et une exclamation effarée du commis économe

Enfin, elle répondit en hésitant:

- Je ne sais pas au juste, mais il me semble qu'avec quatre cents francs je pourrais arriver

ll avait un peu pâli, car il réservait juste cette somme pour acheter un fusil et s'offrir des parties de chasse, l'été suivant, dans la plaine de Nanterre, avec quelques amis qui allaient tirer des alouettes, par là, le dimanche

Il dit cependant:

- Soit Je te donne quatre cents francs Mais tâche d'avoir une belle robe

Le jour de la fête approchait, et Mme Loisel semblait triste, inquiète, anxieuse Sa toilette était prête cependant Son mari lui dit un soir:

- Qu'as-tu Voyons, tu es toute drôle depuis trois jours

Et elle répondit:

- Cela m'ennuie de n'avoir pas un bijou, pas une pierre, rien à mettre sur moi J'aurai l'air misère comme tout J'aimerais presque mieux ne pas aller à cette soirée

Il reprit:

- Tu mettras des fleurs naturelles C'est très chic en cette saison-ci Pour dix francs tu auras deux ou trois roses magnifiques

Elle n'était point convaincue

- Non il n'y a rien de plus humiliant que d'avoir l'air pauvre au milieu de femmes riches

Mais son mari s'écria:

- Que tu es bête! Va trouver ton amie Mme Forestier et demande-lui de te prêter des bijoux Tu es bien assez liée avec elle pour faire cela

Elle poussa un cri de joie

- C'est vrai Je n'y avais point pensé

Le lendemain, elle se rendit chez son amie et lui conta sa détresse Mme Forestier alla vers son armoire à glace, prit un large coffret, l'apporta, l'ouvrit, et dit à Mme Loisel:

- Choisis, ma chère

Elle vit d'abord des bracelets, puis un collier de perles, puis une croix vénitienne, or et pierreries, d'un admirable travail Elle essayait les parures devant la glace, hésitait, ne pouvait se décider à les quitter, à les rendre Elle demandait toujours:

- Tu n'as plus rien d'autre

- Mais si Cherche Je ne sais pas ce qui peut te plaire

Tout à coup elle découvrit, dans une boîte de satin noir, une superbe rivière de diamants; et son coeur se mit à battre d'un désir immodéré Ses mains tremblaient en la prenant Elle l'attacha autour de sa gorge, sur sa robe montante et demeura en extase devant elle-même

Puis, elle demanda, hésitante, pleine d'angoisse:

- Peux-tu me prêter cela, rien que cela

- Mais oui, certainement

Elle sauta au cou de son amie, l'embrassa avee emportement, puis s'enfuit avec son trésor

Le jour de la fête arriva Mme Loisel eut un succès Elle était plus jolie que toutes, élégante, gracieuse, souriante et folle de joie Tous les hommes la regardaient, demandaient son nom, cherchaient à être présentés Tous les attachés du cabinet voulaient valser avec elle Le Ministre la remarqua

Elle dansait avec ivresse, avec emportement, grisée par le plaisir, ne pensant plus à rien, dans le triomphe de sa beauté, dans la gloire de son succès, dans une sorte de nuage de bonheur fait de tous ces hommages, de toutes ces admirations, de tous ces désirs éveillés, de cette victoire si complète et si douce au coeur des femmes

Elle partit vers quatre heures du matin Son mari, depuis minuit, dormait dans un petit salon désert avec trois autres messieurs dont les femmes s'amusaient beaucoup

Il lui jeta sur les épaules les vêtements qu'il avait apportés pour la sortie, modestes vêtements de la vie ordinaire, dont la pauvreté jurait avec l'élégance de la toilette de bal Elle le sentit et voulut s'enfuir, pour ne pas être remarquée par les autres femmes qui s'enveloppaient de riches fourrures

Loisel la retenait:

- Attends donc Tu vas attraper froid dehors Je vais appeler un fiacre

Mais elle ne l'écoutait point et descendait rapidement l'escalier Lorsqu'ils furent dans la rue, ils ne trouvèrent pas de voiture; et ils se mirent à chercher, criant après les cochers qu'ils voyaient passer de loin

Ils descendaient vers la Seine, désespérés, grelottants Enfin, ils trouvèrent sur le quai un de ces vieux coupés noctambules qu'on ne voit dans Paris que la nuit venue, comme s'ils eussent été honteux de leur misère pendant le jour

Il les ramena jusqu'à leur porte, rue des Martyrs, et ils remontèrent tristement chez eux C'était fini, pour elle Et il songeait, lui, qu'il lui faudrait être au Ministère à dix heures

Elle ôta les vêtenoents dont elle s'était enveloppé les épaules, devant la glace, afin de se voir encore une fois dans sa gloire Mais soudain elle poussa un cri Elle n'avait plus sa rivière autour du cou!

Son mari, à moitié dévêtu déjà, demanda:

- Qu'est-ce que tu as

Elle se tourna vers lui, affolée:

- J'ai j'ai je n'ai plus la rivière de Mme Forestier

Il se dressa, éperdu:

- Quoi! comment! Ce n'est pas possible!

Et ils cherchèrent dans les plis de la robe, dans les plis du manteau, dans les poches, partout Ils ne la trouvèrent point

Il demandait:

- Tu es sûre que tu l'avais encore en quittant le bal

- Oui, je l'ai touchée dans le vestibule du Ministère

- Mais si tu l'avais perdue dans la rue, nous l'aurions entendue tomber Elle doit être dans le fiacre

- Oui C'est probable As-tu pris le numéro

- Non Et toi, tu ne l'as pas regardé

- Non

Ils se contemplaient atterrés Enfin Loisel se rhabilla

- Je vais, dit-il, refaire tout le trajet que nous avons fait à pied, pour voir si je ne la retrouverai pas

Et il sortit Elle demeura en toilette de soirée, sans force pour se coucher, abattue sur une chaise, sans feu, sans pensée

Son mari rentra vers sept heures Il n'avait rien trouvé

Il se rendit à la Préfecture de police, aux journaux, pour faire promettre une récompense, aux compagnies de petites voitures, partout enfin où un soupçon d'espoir le poussait

Elle attendit tout le jour, dans le même état d'effarement devant cet affreux désastre

Loisel revint le soir, avec la figure creusée, pâlie; il n'avait rien découvert

- Il faut, dit-il, écrire à ton amie que tu as brisé la fermeture de sa rivière et que tu la fais réparer Cela nous donnera le temps de nous retourner

Elle écrivit sous sa dictée

Au bout d'une semaine, ils avaient perdu toute espérance

Et Loisel, vieilli de cinq ans, déclara:

- Il faut aviser à remplacer ce bijou

Ils prirent, le lendemain, la boîte qui l'avait renfermé, et se rendirent chez le joaillier, dont le nom se trouvait dedans Il consulta ses livres:

- Ce n'est pas moi, madame, qui ai vendu cette rivière; j'ai dû seulement fournir l'écrin

Alors ils allèrent de bijoutier en bijoutier, cherchant une parure pareille à l'autre, consultant leurs souvenirs, malades tous deux de chagrin et d'angoisse

Ils trouvèrent, dans une boutique du PalaisRoyal, un chapelet de diamants qui leur parut entièrement semblable à celui qu'ils cherchaient Il valait quarante mille francs On le leur laisserait à trente-six mille

Ils prièrent donc le joaillier de ne pas le vendre avant trois jours Et ils firent condition qu'on le reprendrait pour trente-quatre mille francs, si le premier était retrouvé avant la fin de février

Loisel possédait dix-huit mille francs que lui avait laissés son père Il emprunterait le reste

Il emprunta, demandant mille francs à I'un, cinq cents à l'autre, cinq louis par-ci, trois louis par-là Il fit des billets, prit des engagements ruineux, eut affaire aux usuriers, à toutes les races de prêteurs Il compromit toute la fin de son existence, risqua sa signature sans savoir même s'il pourrait y faire honneur, et, épouvanté par les angoisses de l'avenir, par la noire misère qui allait s'abattre sur lui, par la perspective de toutes les privations physiques et de toutes les tortures morales, il alla chercher la rivière nouvelle, en déposant sur le comptoir du marchand trente-six mille francs

Quand Mme Loisel reporta la parure à Mme Forestier, celle-ci lui dit, d'un air froissé:

- Tu aurais dû me la rendre plus tôt, car je pouvais en avoir besoin

Elle n'ouvrit pas l'écrin, ce que redoutait son amie Si elle s'était aperçue de la substitution, qu'auraitelle pensé qu'aurait-elle dit Ne l'aurait-elle pas prise pour une voleuse

Mme Loisel connut la vie horrible des nécessiteux Elle prit son parti, d'ailleurs, tout d'un coup, héroïquement Il fallait payer cette dette effroyable Elle payerait On renvoya la bonne; on changea de logement; on loua sous les toits une mansarde

Elle connut les gros travaux du ménage, les odieuses besognes de la cuisine Elle lava la vaisselle, usant ses ongles roses sur les poteries grasses et le fond des casseroles Elle savonna le linge sale, les chemises et les torchons, qu'elle faisait sécher sur une corde; elle descendit à la rue, chaque matin, les ordures, et monta l'eau, s'arrêtant à chaque étage pour souffler Et, vêtue comme une femme du peuple, elle alla chez le fruitier, chez l'épicier, chez le boucher, le panier au bras, marchandant, injuriée, défendant sou à sou son misérable argent

Il fallait chaque mois payer des billets, en renouveler d'autres, obtenir du temps

Le mari travaillait, le soir, à mettre au net les comptes d'un commercant, et la nuit, souvent, il faisait de la copie à cinq sous la page

Et cette vie dura dix ans

Au bout de dix ans, ils avaient tout restitué, tout, avec le taux de l'usure, et l'accumulation des intérêts superposés

Mme Loisel semblait vieille, maintenant Elle était devenue la femme forte, et dure, et rude, des ménages pauvres Mal peignée, avec les jupes de travers et les mains rouges, elle parlait haut, lavait à grande eau les planchers Mais parfois, lorsque son mari était au bureau, elle s'asseyait auprès de la fenêtre, et elle songeait à cette soirée d'autrefois, à ce bal où elle avait été si belle et si fêtée

Que serait-il arrivé si elle n'avait point perdu cette parure Qui sait qui sait Comme la vie est singulière, changeante! Comme il faut peu de chose pour vous perdre ou vous sauver!

Or, un dimanche, comme elle était allée faire un tour aux Champs-Elysées pour se délasser des besognes de la semaine, elle aperçut tout à coup une femme qui promenait un enfant C'était Mme Forestier, toujours jeune, toujours belle, toujours séduisante

Mme Loisel se sentit émue Allait-elle lui parler Oui, certes Et maintenant qu'elle avait payé, elle lui dirait tout Pourquoi pas

Elle s'approcha

- Bonjour, Jeanne

L'autre ne la reconnaissait point, s'étonnant d'être appelée ainsi familièrement par cette bourgeoise

Elle balbutia:

- Mais madame! Je ne sais Vous devez vous tromper

- Non Je suis Mathilde Loisel

Son amie poussa un cri

- Oh! ma pauvre Mathilde, comme tu es changée!

- Oui, j'ai eu des jours bien durs, depuis que je ne t'ai vue; et bien des misères et cela à cause de toi!

- De moi Comment ça

- Tu te rappelles bien cette rivière de diamants que tu m'as prêtée pour aller à la fête du Ministère

- Oui Eh bien

- Eh bien, je l'ai perdue

- Comment! puisque tu me l'as rapportée

- Je t'en ai rapporté une autre toute pareille Et voilà dix ans que nous la payons Tu comprends que ça n'était pas aisé pour nous, qui n'avions rien Enfin c'est fini, et je suis rudement contente

Mme Forestier s'était arrêtée

- Tu dis que tu as acheté une rivière de diamants pour remplacer la mienne

- Oui Tu ne t'en étais pas aperçue, hein! Elles étaient bien pareilles

Et elle souriait d'une joie orgueilleuse et naïve

Mme Forestier, fort émue, lui prit les deux mains

- Oh! ma pauvre Mathilde! Mais la mienne était fausse Elle valait au plus cinq cents francs!

17 février 1884

包君满意

拉里·贝尔蒙特在一家生产机器人的公司里工作。最近,该公司要对一个家用机器人进行试验。这项试验将由拉里的夫人克莱尔来尝试。

克莱尔并不想把机器人留在家里,特别是在她丈夫离家三周的这个期间。但是克莱尔被拉里说服了。他说,机器人不会伤害她,也不会让别人来伤害她。。这样会是个意外的收获。然而她初次见到机器人的时候就感到有点儿吃惊。机器人名叫托尼,看上去更像一个人,而不像台机器。他虽然面部表情毫无变化,但是个子高大、相貌英俊,二头发平整,声音低沉浑厚。

第二天早晨,托尼戴着围裙,给她端来了早餐,然后问她是否需要帮忙穿衣打扮。她感到有点儿不好意思,很快就打发他走了。机器人如此通人性,这使她觉得心烦和害怕。

有一天,克莱尔说起,她觉得她自己并不聪明。托尼则说,克莱尔一定是很不高兴,才会说出这样的话来。克莱尔觉得,机器人会向她表示同情,这有点荒唐可笑。但是她开始信任托尼了。她告诉托尼她太胖了,这让她很不高兴。还有对于像拉里这样很想提高社会地位的人来说,她的家也不够高雅。她跟格拉迪斯’克拉芬不一样,格拉迪斯是远近闻名的有钱有势的女人。

托尼为让克莱尔高兴,答应帮助她,使她变得漂亮,使她的家变得高雅大方。于是克莱尔从图书馆借来一堆书给托尼阅读,或者说给他浏览一下。她惊奇地看着他的手指翻动着书页,忍不住突然伸出手来摸他的手指。他的手指甲和他那柔软温暖的皮肤使她感到大为惊异。她在想,这是多么可笑啊,他只不过是一台机器呀!

托尼给克莱尔换了个发型,又改变了化妆风格。因为不允许托尼陪克莱尔去商店,所以托尼就给她写了一份购物清单。克莱尔进城去买了窗帘、坐垫、地毯和床上用品。然后她去了一家珠宝店买项链。柜台售货员对她很粗鲁,她就打电话给托尼,让售货员同托尼讲话。售货员马上就改变了态度。克莱尔对托尼表示感谢,并说他是个“可爱的人”。她刚一转过身去,就看到格拉迪斯_·克拉芬站在那儿。克莱尔想,被格拉迪斯发现了1,这多么难为情啊!从格拉迪斯脸上的那种有趣而又惊奇的神色来看,克莱尔知道,格拉迪斯认为她有风流韵事了:毕竟格拉迪斯知道她的丈夫是拉里,而不是托尼。

克莱尔回到家里,坐在扶手椅上气得直哭。格拉迪斯的一举一动都是克莱尔想模仿的。托尼告诉克莱尔说,你可以同格拉迪斯一样,.还建议克莱尔邀请格拉迪斯和她的朋友到家里来玩,时间就定在托尼离去和拉里回家之前的那个晚上。托尼想在此之前将房子改装得焕然一新。

托尼有条不紊地搞着装修。克莱尔有一次想来帮忙,但是太笨手笨脚了,竞从梯子上掉了下来。尽管托尼当时在隔壁房间里,他还是及时赶过来把她接住了。他把她紧紧地搂在怀里,她感觉到了他身上有股暖气。她尖叫了起来,把他推开,跑回她的房里,那天她就再也没有出来过。

聚会的那天晚上来到了。时钟敲响八点,客人马上就要到来了。克莱尔叫托尼到另一间房里去。就在那一瞬间,托尼弯曲胳膊搂着她,弯下身去把脸贴近她的脸。她大叫一声“托尼”,然后听到托尼一本正经地说,明天他不想离开她,而且他并不满足于仅仅使她开心。就在这时,前门的门铃响了。托尼放开了她,消失得无影无踪了。也就在这时候,克莱尔才意识到托尼早就把前边窗户的窗帘拉开了。她的客人把这一切看得一清二楚。

克莱尔和她的房子、美食给女士们留下了深刻的印象。就在他们离开之前,克莱尔听到格拉迪斯跟另外一个女人小声地说,她从来没有见过像托尼这样英俊的男人。受到那些女士的妒忌,这该是多么甜美的胜利!克莱尔也许并没有她们那样漂亮,但是他们中没有任何一个人拥有这样英俊的情人。

这时候,她记起来了——托尼只不过是一台机器。她高声嚷着:“让我独自呆一会儿!”就跑上床,哭了一个通宵。第二天早晨开来一辆汽车,把托尼接走了。

公司对托尼同克莱尔相处三个星期的实验报告非常满意。托尼保护了一个人克莱尔免受伤害,他使克莱尔没有因为她的失败感而伤害自己。那天晚上,他拉开了窗帘,让其他女人看到了他和克莱尔在一起,他明白这么做对克莱尔的婚姻并不造成危害。但是,尽管托尼很聪明,他还得作一番改建——总不能让女人和机 器相爱吧

是全球最大的钻石贸易公司EDT旗下的经典品牌。入选了世界顶级奢侈品排行。是欧洲在华最大的珠宝零售之一。设计团体都是来自意大利瓦伦撒的顶级设计师。柏林**节指定珠宝品牌。而且看钻石要看4C标准,重量,颜色,净度,切工。其中切工是直接受人为因素影响的。美国纽约,印度孟买,以色列特拉维夫,比利时安特卫普是著名的切割中心,切割优质钻石。而通灵的钻石都是来自于比利时的优质切工。它的切工都是严格按照7个比例,每个面完全堆成达到57~58个面。其中通灵比较有名的是蓝色火焰。蓝色火焰钻石是有89个切面,钻石轮廓尊贵典雅,设计师之一,柯因冯伊仕尔文花了3年的时间经过周密的计算,将钻石角度比例和棱边的对称发挥到最大,使钻石充分释放各个角度的光芒。第一颗蓝色火焰耗时8个月。它突破了其他一般钻石的57~58个面。非常完美,能焕发出蓝色的光芒。很漂亮的。保证你看完蓝色火焰会爱上它的。当然价格要比普通的贵上很多了。。呵呵。售后服务也很好的。免费清洗,电镀,抛光,整形,刻字,改圈和设计。不错的,可以放心购买。

说到郑州的方特,大家肯定都知道吧,毕竟是一个非常出名的游乐场。那么在这样一个游乐场,跨年夜自然是有活动的。那到时候有没有烟花呢?跨年倒计时放烟花可以说是标配了。下面就和小编一起来看看吧!

1、2022郑州方特跨年夜有烟花吗

舞台会有冷烟花

12月24日-2022年1月2日,方特冰雪新年夜与您浪漫相约。

盛装打扮,气质不能输。

来到童话王国怎么样才能快速融入其中?想象一下在充满童话气息的乐园里,雪花纷飞、星光闪耀。

前边,是身穿华服的公主,后面,是英俊潇洒的王子

所以,你应该明白了吧畅玩童话新年夜第一步就是盛装出席!!!气质这一块要拿捏得稳稳的。

2、跨年活动介绍

劲歌热舞、浪漫民谣、狂欢蹦迪12月31日,郑州方特将邀请在热门综艺《乐队的夏天》中备受欢迎的“马赛克”乐队和文艺气息满满的“麻园诗人”乐队,倾情助阵跨年盛典;此外,实力唱将李奇、溪子等明星也将空降方特,用爆棚的音乐氛围与广大游客一起开启充满期待的2022年。

此外,浪漫的“冰雪盛典大巡游”、欢乐的“荧光派对”及超多精彩演出也将为游客带来欢乐的游园体验。值得一提的是,承载着万千游客希望的“心愿气球”将汇聚在“方特城堡”前,在新年的倒数声中飞向远方,传递给2022!

跨年演出期间,郑州方特还将为现场游客送出多重好礼。全新华为旗舰折叠屏手机P50Pocket、金夫人摄影套照、乾昌珠宝黄金盲盒、Dear系列钻石项链、正弘城双人IMAX**票以及方特假日酒店高级园景房等超多惊喜大礼,都将在夜场期间送给现场的幸运游客。

除了欣赏精彩纷呈的演出节目,广大游客朋友还可以选择在郑州方特用多种方式解锁新年。您可以选择在2021年的最后10分钟体验《飞越极限》,在祖国各地美景的相伴中跨年;也可以选择在最后3分钟感受《极地快车》或《暴风眼》的刺激惊险,在尖叫声中迎接跨年;还可以选择在最后1秒钟前往“幸运Buff墙”随机翻转Buff卡,留下一张超有仪式感的照片,让好运陪伴自己一整年。

问题一:分店的英语翻译 分店用英语怎么说 分店的英语翻译

是branch shop

branch意思是分支

shop意思是商店

问题二:商店英文怎么写 shop store

问题三:专营店英文怎么写? boutique

specialty store

两个都可以

问题四:"精品店"的英文怎么写 boutique [bu:'ti:k] n 1 昂贵(妇女)时装用品小商店 2 百货商店中的(妇女)服饰部,时装礼品专柜 3 高级小商行,精品小商店 4 镀金饰物;珠宝饰物 5 华而不实的奢侈品 6 [美国、澳大利亚英语](产量小的优质)葡萄酒厂,小规模优质酒专酿厂,(自备原料并满足顾客特需的)专酿小酒厂[参较 microbrew] adj 1 (商店)经营小规模精品的,精品屋的,小规模专售优质产品的 2 (工厂)专产小规模优质产品(或精品)的;精细操作的

问题五:服装店的英文怎么写 服装店

Clothing store

服装店

Clothing store

问题六:实体店铺的英文怎么说 Entity store 或者real store

问题七:商店的英文怎么读 商店 [shāng diàn]

[词典] store; shop; shoppe; [**] The Store;

[例句]那家商店东西很贵。

That's a dear shop

问题八:网店 实体店 的英文翻译要准确的哦 网店:online shop

实体店: physical shop

问题九:欢迎光临我的店铺英语怎说 有以下几种表达方式:1wele !2You'常re wele!(同上,比较地道一点)

3You are most wele!(同上类似)

4Wele to my shop/store(这里可以试自己店铺的名字)

5So nice of you to e!(是自己熟人的时候用比较好)

以上可供您自由选择

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原文地址:https://hunlipic.com/liwu/7928322.html

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