没有德文,莫泊桑是法人,只有法语希望喜欢^_^
[法语阅读] 名著:项链
La Parure
C'était une de ces jolies et charmantes files, knees, comme par une erreur du destin, dans une famille d'employés Elle n'avait pas de dot, pas d'espérances, aucun moyen d'être connue, comprise, aimée, épousée par un homme riche et distingué; et elle se laissa marier avec un petit commis du ministère de l'Instruction publique
Elle fut simple, ne pouvant être parée, mais malheureuse comme une déclassée; car les femmes n'ont point de caste ni de race, leur beauté, leur grâce et leur charme leur servant de naissance et de famille Leur finesse native, leur instinct d'élégance, leur souplesse d'esprit sont leur seule hiérarchie, et font des filles du peuple les égales des plus grandes dames
Elle souffrait sans cesse, se sentant née pour toutes les délicatesses et tous les luxes Elle souffrait de la pauvreté de son logement, de la misère des murs, de l'usure des sièges, de la laideur des étoffes Toutes ces choses, dont une autre femme de sa caste ne se serait même pas aperçue, la torturaient et I'indignaient La vue de la petite Bretonne qui faisait son humble ménage éveillait en elle des regrets désolés et des rêves éperdus Elle songeait aux antichambres nettes, capitonnées avec des tentures orientales, éclairées par de hautes torchères de bronze, et aux deux grands valets en culotte courte qui dorment dans les larges fauteuils, assoupis par la chaleur lourde du calorifère Elle songeait aux grands salons vêtus de soie ancienne, aux meubles fins portant des bibelots inestimables, et aux petits salons coquets parfumés, faits pour la causerie de cinq heures avec les amis les plus intimes, les hommes connus et recherchés dont toutes les femmes envient et désirent l'attention
Quand elle s'asseyait, pour dîner, devant la table ronde couverte d'une nappe de trois jours, en face de son mari qui découvrait la soupière en déclarant d'un air enchanté: «Ah! le bon pot-au-feu! je ne sais rien de meilleur que cela, elle songeait aux dîners fins, aux argenteries reluisantes, aux tapisseries peuplant les murailles de personnages anciens et d'oiseaux étranges au milieu d'une forêt de féerie; elle songeait aux plats exquis servis en des vaisselles merveilleuses, aux galanteries chuchotées et écoutées avec un sourire de sphinx, tout en mangeant la chair rose d'une truite ou des ailes de gélinotte
Elle n'avait pas de toilettes, pas de bijoux, rien Et elle n'aimait que cela; elle se sentait faite pour cela Elle eût tant désiré plaire, être enviée, être séduisante et recherchée
Elle avait une amie riche, une camarade de couvent qu'elle ne voulait plus aller voir, tant elle souffrait en revenant Et elle pleurait pendant des jours entiers, de chagrin, de regret, de désespoir et de détresse
Or, un soir, son mari rentra, l'air glorieux et tenant à la main une large enveloppe
-Tiens, dit-il, voici quelque chose pour toi
Elle déchira vivement le papier et en tira une carte qui portait ces mots:
"Le ministre de l'Instruction publique et Mme Georges Ramponneau prient M et Mme Loisel de leur faire l'honneur de venir passer la soirée à l'hôtel du ministère, le lundi 18 janvier"
Au lieu d'être ravie, comme l'espérait son mari, elle jeta avec dépit l'invitation sur la table, murmurant:
- Que veux-tu que je fasse de cela
- Mais, ma chérie, je pensais que tu serais contente Tu ne sors jamais, et c'est une occasion, cela, une belle! J'ai eu une peine infinie à l'obtenir Tout le monde en veut; c'est très recherché et on n'en donne pas beaucoup aux employés Tu verras là tout le monde officiel
Elle le regardait d'un oeil irrité, et elle déclara avec impatience:
- Que veux-tu que je me mette sur le dos pour aller là
Il n'y avait pas songé; il balbutia:
- Mais la robe avec laquelle tu vas au théâtre Elle me semble très bien, à moi
Il se tut, stupéfait, éperdu, en voyant que sa femme pleurait Deux grosses larmes descendaient lentement des coins des yeux vers les coins de la bouche; il bégaya:
- Qu'as-tu qu'as-tu
Mais, par un effort violent, elle avait dompté sa peine et elle répondit d'une voix calme en essuyant ses joues humides:
- Rien Seulement je n'ai pas de toilette et par conséquent, je ne peux aller à cette fête Donne ta carte à quelque collègue dont la femme sera mieux nippée que moi
Il était désolé Il reprit:
- Voyons, Mathilde Combien cela coûterait-il, une toilette convenable, qui pourrait te servir encore en d'autres occasions, quelque chose de très simple
Elle réfléchit quelques secondes, établissant ses comptes et songeant aussi à la somme qu'elle pouvait demander sans s'attirer un refus immédiat et une exclamation effarée du commis économe
Enfin, elle répondit en hésitant:
- Je ne sais pas au juste, mais il me semble qu'avec quatre cents francs je pourrais arriver
ll avait un peu pâli, car il réservait juste cette somme pour acheter un fusil et s'offrir des parties de chasse, l'été suivant, dans la plaine de Nanterre, avec quelques amis qui allaient tirer des alouettes, par là, le dimanche
Il dit cependant:
- Soit Je te donne quatre cents francs Mais tâche d'avoir une belle robe
Le jour de la fête approchait, et Mme Loisel semblait triste, inquiète, anxieuse Sa toilette était prête cependant Son mari lui dit un soir:
- Qu'as-tu Voyons, tu es toute drôle depuis trois jours
Et elle répondit:
- Cela m'ennuie de n'avoir pas un bijou, pas une pierre, rien à mettre sur moi J'aurai l'air misère comme tout J'aimerais presque mieux ne pas aller à cette soirée
Il reprit:
- Tu mettras des fleurs naturelles C'est très chic en cette saison-ci Pour dix francs tu auras deux ou trois roses magnifiques
Elle n'était point convaincue
- Non il n'y a rien de plus humiliant que d'avoir l'air pauvre au milieu de femmes riches
Mais son mari s'écria:
- Que tu es bête! Va trouver ton amie Mme Forestier et demande-lui de te prêter des bijoux Tu es bien assez liée avec elle pour faire cela
Elle poussa un cri de joie
- C'est vrai Je n'y avais point pensé
Le lendemain, elle se rendit chez son amie et lui conta sa détresse Mme Forestier alla vers son armoire à glace, prit un large coffret, l'apporta, l'ouvrit, et dit à Mme Loisel:
- Choisis, ma chère
Elle vit d'abord des bracelets, puis un collier de perles, puis une croix vénitienne, or et pierreries, d'un admirable travail Elle essayait les parures devant la glace, hésitait, ne pouvait se décider à les quitter, à les rendre Elle demandait toujours:
- Tu n'as plus rien d'autre
- Mais si Cherche Je ne sais pas ce qui peut te plaire
Tout à coup elle découvrit, dans une boîte de satin noir, une superbe rivière de diamants; et son coeur se mit à battre d'un désir immodéré Ses mains tremblaient en la prenant Elle l'attacha autour de sa gorge, sur sa robe montante et demeura en extase devant elle-même
Puis, elle demanda, hésitante, pleine d'angoisse:
- Peux-tu me prêter cela, rien que cela
- Mais oui, certainement
Elle sauta au cou de son amie, l'embrassa avee emportement, puis s'enfuit avec son trésor
Le jour de la fête arriva Mme Loisel eut un succès Elle était plus jolie que toutes, élégante, gracieuse, souriante et folle de joie Tous les hommes la regardaient, demandaient son nom, cherchaient à être présentés Tous les attachés du cabinet voulaient valser avec elle Le Ministre la remarqua
Elle dansait avec ivresse, avec emportement, grisée par le plaisir, ne pensant plus à rien, dans le triomphe de sa beauté, dans la gloire de son succès, dans une sorte de nuage de bonheur fait de tous ces hommages, de toutes ces admirations, de tous ces désirs éveillés, de cette victoire si complète et si douce au coeur des femmes
Elle partit vers quatre heures du matin Son mari, depuis minuit, dormait dans un petit salon désert avec trois autres messieurs dont les femmes s'amusaient beaucoup
Il lui jeta sur les épaules les vêtements qu'il avait apportés pour la sortie, modestes vêtements de la vie ordinaire, dont la pauvreté jurait avec l'élégance de la toilette de bal Elle le sentit et voulut s'enfuir, pour ne pas être remarquée par les autres femmes qui s'enveloppaient de riches fourrures
Loisel la retenait:
- Attends donc Tu vas attraper froid dehors Je vais appeler un fiacre
Mais elle ne l'écoutait point et descendait rapidement l'escalier Lorsqu'ils furent dans la rue, ils ne trouvèrent pas de voiture; et ils se mirent à chercher, criant après les cochers qu'ils voyaient passer de loin
Ils descendaient vers la Seine, désespérés, grelottants Enfin, ils trouvèrent sur le quai un de ces vieux coupés noctambules qu'on ne voit dans Paris que la nuit venue, comme s'ils eussent été honteux de leur misère pendant le jour
Il les ramena jusqu'à leur porte, rue des Martyrs, et ils remontèrent tristement chez eux C'était fini, pour elle Et il songeait, lui, qu'il lui faudrait être au Ministère à dix heures
Elle ôta les vêtenoents dont elle s'était enveloppé les épaules, devant la glace, afin de se voir encore une fois dans sa gloire Mais soudain elle poussa un cri Elle n'avait plus sa rivière autour du cou!
Son mari, à moitié dévêtu déjà, demanda:
- Qu'est-ce que tu as
Elle se tourna vers lui, affolée:
- J'ai j'ai je n'ai plus la rivière de Mme Forestier
Il se dressa, éperdu:
- Quoi! comment! Ce n'est pas possible!
Et ils cherchèrent dans les plis de la robe, dans les plis du manteau, dans les poches, partout Ils ne la trouvèrent point
Il demandait:
- Tu es sûre que tu l'avais encore en quittant le bal
- Oui, je l'ai touchée dans le vestibule du Ministère
- Mais si tu l'avais perdue dans la rue, nous l'aurions entendue tomber Elle doit être dans le fiacre
- Oui C'est probable As-tu pris le numéro
- Non Et toi, tu ne l'as pas regardé
- Non
Ils se contemplaient atterrés Enfin Loisel se rhabilla
- Je vais, dit-il, refaire tout le trajet que nous avons fait à pied, pour voir si je ne la retrouverai pas
Et il sortit Elle demeura en toilette de soirée, sans force pour se coucher, abattue sur une chaise, sans feu, sans pensée
Son mari rentra vers sept heures Il n'avait rien trouvé
Il se rendit à la Préfecture de police, aux journaux, pour faire promettre une récompense, aux compagnies de petites voitures, partout enfin où un soupçon d'espoir le poussait
Elle attendit tout le jour, dans le même état d'effarement devant cet affreux désastre
Loisel revint le soir, avec la figure creusée, pâlie; il n'avait rien découvert
- Il faut, dit-il, écrire à ton amie que tu as brisé la fermeture de sa rivière et que tu la fais réparer Cela nous donnera le temps de nous retourner
Elle écrivit sous sa dictée
Au bout d'une semaine, ils avaient perdu toute espérance
Et Loisel, vieilli de cinq ans, déclara:
- Il faut aviser à remplacer ce bijou
Ils prirent, le lendemain, la boîte qui l'avait renfermé, et se rendirent chez le joaillier, dont le nom se trouvait dedans Il consulta ses livres:
- Ce n'est pas moi, madame, qui ai vendu cette rivière; j'ai dû seulement fournir l'écrin
Alors ils allèrent de bijoutier en bijoutier, cherchant une parure pareille à l'autre, consultant leurs souvenirs, malades tous deux de chagrin et d'angoisse
Ils trouvèrent, dans une boutique du PalaisRoyal, un chapelet de diamants qui leur parut entièrement semblable à celui qu'ils cherchaient Il valait quarante mille francs On le leur laisserait à trente-six mille
Ils prièrent donc le joaillier de ne pas le vendre avant trois jours Et ils firent condition qu'on le reprendrait pour trente-quatre mille francs, si le premier était retrouvé avant la fin de février
Loisel possédait dix-huit mille francs que lui avait laissés son père Il emprunterait le reste
Il emprunta, demandant mille francs à I'un, cinq cents à l'autre, cinq louis par-ci, trois louis par-là Il fit des billets, prit des engagements ruineux, eut affaire aux usuriers, à toutes les races de prêteurs Il compromit toute la fin de son existence, risqua sa signature sans savoir même s'il pourrait y faire honneur, et, épouvanté par les angoisses de l'avenir, par la noire misère qui allait s'abattre sur lui, par la perspective de toutes les privations physiques et de toutes les tortures morales, il alla chercher la rivière nouvelle, en déposant sur le comptoir du marchand trente-six mille francs
Quand Mme Loisel reporta la parure à Mme Forestier, celle-ci lui dit, d'un air froissé:
- Tu aurais dû me la rendre plus tôt, car je pouvais en avoir besoin
Elle n'ouvrit pas l'écrin, ce que redoutait son amie Si elle s'était aperçue de la substitution, qu'auraitelle pensé qu'aurait-elle dit Ne l'aurait-elle pas prise pour une voleuse
Mme Loisel connut la vie horrible des nécessiteux Elle prit son parti, d'ailleurs, tout d'un coup, héroïquement Il fallait payer cette dette effroyable Elle payerait On renvoya la bonne; on changea de logement; on loua sous les toits une mansarde
Elle connut les gros travaux du ménage, les odieuses besognes de la cuisine Elle lava la vaisselle, usant ses ongles roses sur les poteries grasses et le fond des casseroles Elle savonna le linge sale, les chemises et les torchons, qu'elle faisait sécher sur une corde; elle descendit à la rue, chaque matin, les ordures, et monta l'eau, s'arrêtant à chaque étage pour souffler Et, vêtue comme une femme du peuple, elle alla chez le fruitier, chez l'épicier, chez le boucher, le panier au bras, marchandant, injuriée, défendant sou à sou son misérable argent
Il fallait chaque mois payer des billets, en renouveler d'autres, obtenir du temps
Le mari travaillait, le soir, à mettre au net les comptes d'un commercant, et la nuit, souvent, il faisait de la copie à cinq sous la page
Et cette vie dura dix ans
Au bout de dix ans, ils avaient tout restitué, tout, avec le taux de l'usure, et l'accumulation des intérêts superposés
Mme Loisel semblait vieille, maintenant Elle était devenue la femme forte, et dure, et rude, des ménages pauvres Mal peignée, avec les jupes de travers et les mains rouges, elle parlait haut, lavait à grande eau les planchers Mais parfois, lorsque son mari était au bureau, elle s'asseyait auprès de la fenêtre, et elle songeait à cette soirée d'autrefois, à ce bal où elle avait été si belle et si fêtée
Que serait-il arrivé si elle n'avait point perdu cette parure Qui sait qui sait Comme la vie est singulière, changeante! Comme il faut peu de chose pour vous perdre ou vous sauver!
Or, un dimanche, comme elle était allée faire un tour aux Champs-Elysées pour se délasser des besognes de la semaine, elle aperçut tout à coup une femme qui promenait un enfant C'était Mme Forestier, toujours jeune, toujours belle, toujours séduisante
Mme Loisel se sentit émue Allait-elle lui parler Oui, certes Et maintenant qu'elle avait payé, elle lui dirait tout Pourquoi pas
Elle s'approcha
- Bonjour, Jeanne
L'autre ne la reconnaissait point, s'étonnant d'être appelée ainsi familièrement par cette bourgeoise
Elle balbutia:
- Mais madame! Je ne sais Vous devez vous tromper
- Non Je suis Mathilde Loisel
Son amie poussa un cri
- Oh! ma pauvre Mathilde, comme tu es changée!
- Oui, j'ai eu des jours bien durs, depuis que je ne t'ai vue; et bien des misères et cela à cause de toi!
- De moi Comment ça
- Tu te rappelles bien cette rivière de diamants que tu m'as prêtée pour aller à la fête du Ministère
- Oui Eh bien
- Eh bien, je l'ai perdue
- Comment! puisque tu me l'as rapportée
- Je t'en ai rapporté une autre toute pareille Et voilà dix ans que nous la payons Tu comprends que ça n'était pas aisé pour nous, qui n'avions rien Enfin c'est fini, et je suis rudement contente
Mme Forestier s'était arrêtée
- Tu dis que tu as acheté une rivière de diamants pour remplacer la mienne
- Oui Tu ne t'en étais pas aperçue, hein! Elles étaient bien pareilles
Et elle souriait d'une joie orgueilleuse et naïve
Mme Forestier, fort émue, lui prit les deux mains
- Oh! ma pauvre Mathilde! Mais la mienne était fausse Elle valait au plus cinq cents francs!
17 février 1884
认真读完一本著作后,你心中有什么感想呢?现在就让我们写一篇走心的读后感吧。那么如何写读后感才能更有感染力呢?以下是我帮大家整理的《项链》读后感,欢迎阅读,希望大家能够喜欢。
《项链》读后感1《项链》写的是一位教育部职员的妻子玛蒂尔德,为了参加教育部部长举办的舞会,把丈夫准备买武器的四百法郎拿去了买衣服,又向女友福里斯杰太太借来一串项链。舞会上,她打扮得十分出众,再加上她那美丽的容貌,真是闭月羞花,男宾们都望着她出神,她非常满意。回家后,她刚准备换衣服时发现项链不见了,夫妻俩非常吃惊,找遍了任何地方都没有找着,只好赔偿。他们向亲朋好友们借了三万六千法郎在能买到在首饰行里差不多一样的钻石项链,还给了女友。这对夫妇花了十年精力,才还清了买项链所欠下的债。在十年后的一天,她偶然碰见了女友,在谈话中她才得知:女友十年前借给她的项链是假的,顶多才值五百法郎。
读了这个故事后,我觉得玛蒂尔德的虚荣心太强了。其实故事的中间也显露出了结局,当福里斯杰太太接过盒子后她并没有打开盒子,而是直接放进桌子上,显然她已经知道项链是假的。
这个故事让我体会到:在生活中不能有太大的虚荣心,否则后果会贪小失大。
《项链》读后感2上个星期,我读完了一本《莫泊桑短篇小说》。
莫泊桑是世界著名的短片小说家,有“世界短篇小说之王”的美称。《莫泊桑短篇小说》中记录了他包括《羊脂球》《项链》《我的叔叔于勒》等在内的三十篇著名短篇小说。其中,我最喜欢的是《项链》。
《项链》这篇文章主要写了马蒂尔德骆塞尔太太要去参加一个舞会,但没有好看的戴的东西,于是她向自己的朋友弗兰斯基夫人借了一条项链,带没想到在回家途中项链不幸丢失了,于是她买了一条和那条项链一模一样的还给了弗兰斯基。可谁知买那条项链竟让她破产了,她花了整整十年的时间还清了债务,最后得知那条项链竟是假的。马蒂尔德从此再也不贪慕虚荣了,反而变得勤奋起来。
从这篇文章中,我学到了:我们不能向马蒂尔德骆塞尔学习她爱慕虚荣。
我记得在外婆那我有一个好朋友,她叫刘云,她父母在外辛苦的干活,他又时看到别的小孩子身上穿的全是名牌,她非常羡慕,于是她也吵着要父母为她买,父母没办法只好去为她买。别人见了,都夸她的衣服好看。
我认为我们不能贪慕虚荣。
《项链》读后感3文章的主人公玛蒂尔德太太出身平庸,渴望跻身上流社会。好不容易得到参加舞会的机会,大出风头后丢掉了向友人借的珍珠项链。我认为有向往美好生活的心理合乎常理,不算爱慕虚荣,但她仅仅只会做梦。
她幻想富丽堂皇的殿堂,烫金渡边的尖顶教堂,印着大幅壁画的房顶、墙壁,中世纪的艺术产物与妇女裙沿的蕾丝花边。还有舞会开场前木质大钟庄严的叩击,金色的烛台摇曳着金色的光,银餐盘中躺着鲜嫩的鳟鱼肉。
每个人都爱做梦,女人尤其。然而,做梦的意义在于睁眼实现。
莫泊桑一生仰慕爱情,文中流露出卢瓦尔泽对夫人小脾气的包容。如果玛蒂尔德太太把贵族光鲜亮丽的生活当成动力,靠自己的努力与丈夫全心的爱争取,结果或许有所不同。可能这样的剧情在当时奢靡成风的法国颇有戏剧色彩,但毕竟生活不是公式定理能够测算的。
梦不分贵贱高低,盼望有仆人服侍不是难以启齿的愿望,不见得“变得富裕”比“为人民服务”难堪。有梦比没梦好。下床实现梦想比闭眼继续做梦好。
借来的项链丢了,玛蒂尔德十年最美的时光丢了,美貌、优雅、妩媚丢了。全当是生活对只会做梦的人一点玩笑吧。
《项链》读后感4今年暑假,我在书店里挑了一本书,《羊脂球》,里面有好多篇小说,有:《羊脂球》,《项链》,《遗产》,《一家人》,《一个女雇工的故事》。这些都是莫泊桑写的。可是这么多篇小说中,我还是最喜欢《项链》这篇小说,它是一篇短篇小说,描述了女主人公罗瓦赛尔太太迷恋虚荣浮华,为图一时出风头,而丢失了借来的项链。一家人只好省吃俭用,东借西借,好不容易凑足3万6千法郎买了一条相同的项链赔给人家。为偿还这笔债务,他们夫妻俩赔上了十年的辛酸。之后罗瓦赛尔太太从原项链主人那里得知,那条丢失的项链只可是是一条只值几百法郎的人造品。这故事情节扣人心弦,读后使人追悔其过去,更揣想其未来。
如果罗瓦赛尔太太当初不去借项链,她就不会赔上十年的辛酸。这也只能怪她自我迷恋虚荣浮华。哪一个人不爱美,可是过度的爱美就会产生不良的结果,这让我想起了一句名言:祸患常积于忽微,而智勇多困于所溺。意思是要经常注意身边那些小的祸患,不要掉以轻心,否则会积成大祸,对事物的钟爱要适度,不然就会产生不良结果。
大家千万不要学习罗瓦赛尔太太,她那种迷恋虚荣浮华,过度的爱美不值得我们学习,平淡才是真,自然才最美。
《项链》读后感5最近,我读了一本《莫泊桑短篇小说精选》。大家都知道,莫泊桑有“世界短篇小说之王”的美称,而这本书中就收录了他的著名短篇小说三十篇,如:《羊脂球》《我的叔叔于勒》《菲菲**》……其中,我最喜欢的就是《项链》这个故事了
女主人公玛蒂尔德的家庭条件并不富裕,为了参加舞会,她向好友借了一条看似昂贵的钻石项链。但天有不测风云,玛蒂尔德不小心把项链弄丢了。之后,她和丈夫四处借钱,买了一条一模一样的项链还给好友。为了还债,她浪费了十年的青春。等到再次遇到好友时,好友竟告诉她丢失的那条项链是假的,不值那么多钱。
从中,我明白了:虚荣!这一切都是虚荣惹的祸!如果不是虚荣,玛蒂尔德也不会向好友借那条钻石项链;如果不是虚荣,玛蒂尔德也不会浪费十年的青春去还债。当今社会,有多少人喜欢攀比,摆阔气!你瞧,我妹妹就是一个活生生的例子。每次看到我有好东西,她就会吵着闹着让她妈妈给她买同样的,不管她妈妈有没有钱,也不管她喜不喜欢这样东西。反正,大多数东西最后都会被她丢弃在一边。
虚荣真的不好。我们应该要朴实、纯洁,不要爱慕虚荣。
《项链》读后感6莫泊桑创作了许多短篇小说,其中《项链》很有名,我最近读了读,感受颇深。
《项链》讲述了一个漂亮动人的女子玛蒂尔德在参加聚会时为了满足她的虚荣心,向朋友借了一串钻石项链,结果弄丢了,花费了十年的青春,买下一串一模一样的昂贵的钻石项链。到最后才知道丢的那一串是假的。
读完后,我想:玛蒂尔德十分讲诚信,为了能够还朋友一条钻石项链,不惜牺牲自己十年的青春。但是迫使她成为现在这个像普通的家庭主妇一样的样子并不是她的诚信,而是她的面子——她的虚荣心太强了。从这篇故事中,我知道了:每个人都是有虚荣心的,但有的人能够正确地接受别人的建议,不断地去完善自我,而有的人却一味追求外表的美。追求外表美是很好,但心地善良才是最美丽的。做人要一步一个脚印才行。就像在生活中,许多同学家庭并不富裕,却为了与别人攀比,为了炫耀,花了许多父母辛辛苦苦挣来的血汗钱,与别人一样要吃好的,穿名牌。这样做看似很好,但实质上并不光彩啊。在我们看来,他并不比以前漂亮许多。
做人要一步步脚踏实地,要为自己与他人付出辛勤的劳动,这才是最光彩的事啊。
《项链》读后感7今天的阅读课上,我又一次读了《青铜葵花》这本书。还是被里面的男孩与女孩的故事所感动了!
《青铜葵花》是曹文轩的作品,也是我最喜欢的。书中讲的是一个特别的机缘,让城市女孩葵花和乡村哑男孩青铜成了兄妹相称的朋友,它们中一起生活,一起长大。12岁那年,命运又将葵花召回她的城市,男孩青铜从此常常遥望芦荡的尽头,遥望女孩所在的地方,终于,有一天,他仿佛看到了葵花的影子,并开口叫出葵花的名字……
这次读,我是粗读的,我首先通过看书中的目录回顾每章的内容。共有九章:第一章小木船,第二章葵花田,第三章老槐树,第四章芦花鞋,第五章金茅草,第六章冰项链,第七章三月蝗,第八章纸灯笼,第九章大草垛。我最喜欢的是芦花鞋和冰项链这两章。
今天我还摘抄了一些好词,如:舍不得、红润、九霄云外、淹没、依依不舍、愣了一阵、文谈、情不自禁、余晖、眺望……
我也记录了好多佳句:
一船茅草,简直就像一船金子。
演出是在打谷场上,此时早已人山人海!
葵花很不好意思,脸上一阵发烧。
这时,他用跟手指将它高高地挑起:一条冰项链便在夕阳的余晖里出现了
……
读了这本书,我感觉到,我们应该向书中的他们,应当敢于正视痛苦!正所谓“凡能体味他们的,方懂得人生的价值和离开人生时的甜蜜。”
《项链》读后感8时间就如流水一般悄然逝去,莫泊桑的《项链》已经看完了。我不经感叹这是一本具有灵魂的小说,畅读起来总是令人心生愉快,当然对于这本小说我颇有一番见解!
首先小说讲述的是一位路瓦栽夫人由于家庭贫困没有钱买饰品参加上流社会的晚宴而去向好友伏来士洁借来一款钻石项链,并且在晚会上脱颖而出。回到家后却发现项链弄丢了,无计可施的情况下,只得借钱买回价值三万六千金法郎的一模一样的项链还给物主。此后的十年里,她和她的丈夫拼命地打工赚钱还债。后来再次遇到好友伏来士洁,才知道那时候借给她的项链只不过是赝品。
从写作的手法上可以说是浑然天成,承上启下,还多次埋有伏笔,令读者移不开眼,生怕哪个片段错过了。同时,后面的路瓦栽夫人得知真相后,引发起读者的深思,人到底在追求什么?为了美付出十年的艰辛值得吗?
我个人认为爱美之心人皆有之,可是在没有条件的情况下,一味的去追求这种美就是虚荣心在作祟了。往往这种虚荣心是要付出代价的,这种代价还是不平等的。
美是由内而外,心美自然人就美!
《项链》读后感9《项链》是一篇莫泊桑的著名短篇小说,这篇文章告诉我们不能做一个爱慕虚荣的人,不然是不会有好下场的。
这篇短篇小说主要写了玛蒂尔德太太过于爱慕虚荣,为了让自己的美貌更出众,向朋友借了一串项链,可后来弄丢了,花了十年功夫还清债务后才得知弄丢的那串项链是假的。
玛蒂尔德太太是一个虚荣心极强的人,她成天抱怨自己那么美丽,却在一个穷家庭里。她对于自己如此如此倒霉的身世很恼火,她总觉得自己是为了一切精美和一切豪华的事物而生的,她懒惰、骄傲、恼火……由于她的爱美之心,使她变成了一个家庭妇女,也正是因为她的虚荣心,帮助它改掉了缺点,取而代之的是勤劳、善良、朴素等良好的优点。因为一次特殊的经历是玛蒂尔德太太改头换面、重新做人。
我也和玛蒂尔德太太一样,有点虚荣心,有时去商场,我会吵着要买名牌的衣服、裤子、鞋子……但读了这篇短文后,我决定以后一定改掉这个换毛病。
同学们希望我们一起努力,携起手来一起做朴素的孩子!
《项链》读后感10读完莫泊桑的《项链》,我没想到结果竟会是这样,情不自禁“啊?”出了声。这个结局简直出乎意料,不过仔细想想这是女主人公咎由自取。
这篇小说讲述的是罗塞瓦德夫人虚荣心十足,她为了在一次宴会上出风头,特意从女友那里借来一根金刚石项链。当她戴着项链在宴会上出现的时候,引起了全场人的赞叹,她的虚荣心得到了极大的满足。不幸的是,在回家的路上,这条项链丢失了。为了赔偿这价值三万六千法郎的金项链,她负了重债。之后,她整整十年节衣缩食、辛苦劳作才还清了债务。而颇具讽刺意味的是这时女友告诉她丢失的项链是假的。
罗塞瓦德夫人通过“打肿脸充胖子”的方式来显示自我,因为虚荣虚荣心使她吃尽了苦头。虚假的荣誉是一个转瞬即破的肥皂泡,我们不应该追求这种并不属于自己的虚假的东西;而要脚踏实地地去干一番事业,通过奋斗,创造出属于自己的荣誉来。
文中的女主人公罗塞瓦德夫人就是因为虚荣心使他十年背负累累债务,教训深刻。在现实生活中,我们不能过度虚荣,而应该做一个朴实的人。
《项链》读后感11本文讲评的是罗塞瓦德太太虚荣心统统,她为了在一次宴席上展示自己,特意从女友那里借来一根金刚石项链当她戴着项链在宴席上呈现的时辰,导致了全场人的赞叹与奉承,她的'虚荣心获患了泼天的餍足不幸运的是,在回家的路上,这条项链丢掉了为了补偿这价值三万六千法郎的金项链,她负了重债然后,她事足足十年省吃俭用才还清清偿务而颇具嘲讽象征的是这时候对于方告诉她丢掉的项链是假的罗塞瓦德太太路程经过过程“打肿脸充胖人”的体式格局来预示自我,体面不雅念的驱动,使她吃尽了苦头。
“哦,悯恻的罗瓦塞尔匹俦!运气真会作搞人”那是我看完文章后的熬头虚荣会使坦诚的人走向虚假虚荣心强的人每一每一体现为一种自诩夸耀的举动,路程经过过程吹法螺、隐匿等棍骗手眼来体现自已经虚荣心强的人,每一每一有嫉妒激动,看见旁人的能力比本身强,官位地方比本身高,运气比本身好,外表比本身美,就感应不舒畅、不利落索性甚或者排异、奚落、冲击、生分、难为比自自强的人,最不克不及接管的是他人当众顶嘴或者劈面提定见,最不克不及宽容忍耐的是揭他的老底是以,与他交友的有多是一些溜须拍马的“小人”
法国哲学家柏格森说过:“虚荣心很难说是一种罪行,然而一切罪行都盘绕虚荣心而生,都不外是餍足虚荣心的手眼”虚假的声誉是一个转瞬即破的番笕泡,咱们不该该寻求这类其实不归属自已经的虚假的工具;而要实事求是地去干一番事业,路程经过过程奋斗,创造出归属本身的声誉来
《项链》读后感12读完莫泊桑的著名短篇小说中脍炙的精品《项链》,我叹了一口气,坐在椅子上,回忆着故事中的精彩片段。
《项链》讲是女主人公罗瓦赛尔太太迷恋虚荣浮华,为了在一次晚会上出风头,借了她的朋友福莱蒂埃太太的一条项链,谁知晚会结束后竟把项链弄丢了。为此,一家人只好省吃俭用,东拼西凑,好不容易凑了三万六千法郎买了一条相同的项链还给福莱蒂埃太太。
为了偿还这笔债务,他们的生活发生了巨大的变化:辞退了女仆,搬了家,租一间又矮又小的阁楼住。家里的所有重活脏活全都落在罗瓦赛尔的身上,生活的磨难让罗瓦赛尔整个人都变了样。
然而十年后,他们终于还清了所有的债务。罗瓦赛尔终于松了一口气,为此,她到香榭丽舍散步,碰巧遇到了依然年轻的福莱蒂埃太太,罗瓦赛尔大方的去打招呼,福莱蒂埃太太都认不出来她了,因为她老的像一个农妇,从福莱蒂埃太太哪里得知,那条项链只是的赝品,价值几百法郎……
人不能贪图荣华富贵,总想得到超出自己能力范围的东西,会让自己付出的更多。
《项链》读后感13这篇短篇小说我在初一就读过了。我不曾喜欢过其中的女主公玛蒂尔德。她美丽的容貌落入贫穷的家庭,她认为上天不公,而我却认为她拥有一个爱她的丈夫才是她最大的资本。她追求奢华,追求被万人追捧的感觉,追求一切物质上的享受。我觉得她不懂得珍惜,只会向丈夫抱怨,忽视了丈夫的压力与感受,所以我对她也没有任何好感。
终于,那串“价值连城‘的项链丢了!这时我的心情是复杂的,既认为这是对她的报应,另一方面,又为那贫困的家庭如何赔偿惊人的数目而担心。
当然,后面我的看法有所改变。玛蒂尔德虽然虚荣好面子,但只是一种爱美的天性。十年的还债生活,流逝的光阴慢慢抚平了她浮躁的心,她失去了亮丽的容颜,失去了一切。这时的她虽然朴素地没有一点光彩,但是我觉得她很有担当,是自己做错的事就勇敢面对,负责到底,努力弥补,而不是怨天尤人。这是那个有担当的她,也许更加“光彩照人”吧!
作为莫泊桑的短篇小说,结局当然是极具戏剧性的。虽然我有为女主公抱怨过,但更多的是感谢这次事件,让她明白年轻、容貌不是资本。对生活的态度和珍惜所拥有的心胜过任何一串“价值连城“的项链!
《项链》读后感14今年暑假,我在书店里挑了一本书,《羊脂球》,里面有好多篇小说,有:《羊脂球》,《项链》,《遗产》,《一家人》,《一个女雇工的故事》。这些都是莫泊桑写的。不过这么多篇小说中,我还是最喜欢《项链》这篇小说,它是一篇短篇小说,描写了女主人公罗瓦赛尔太太迷恋虚荣浮华,为图一时出风头,而丢失了借来的项链。一家人只好省吃俭用,东借西借,好不容易凑足3万6千法郎买了一条相同的项链赔给人家。为偿还这笔债务,他们夫妻俩赔上了十年的辛酸。后来罗瓦赛尔太太从原项链主人那里得知,那条丢失的项链只不过是一条只值几百法郎的人造品。这故事情节扣人心弦,读后使人追悔其过去,更揣想其未来。
如果罗瓦赛尔太太当初不去借项链,她就不会赔上十年的辛酸。这也只能怪她自己迷恋虚荣浮华。哪一个人不爱美,但是过度的爱美就会产生不良的结果,这让我想起了一句名言:祸患常积于忽微,而智勇多困于所溺。意思是要经常注意身边那些小的祸患,不要掉以轻心,否则会积成大祸,对事物的钟爱要适度,不然就会产生不良结果。
大家千万不要学习罗瓦赛尔太太,她那种迷恋虚荣浮华,过度的爱美不值得我们学习。
平淡才是真,自然才最美。
《项链》读后感15刚刚读了一本书,是莫泊桑的《项链》。讲述的是,骆塞尔太太家里不是很富有,只要能吃一顿肉汤就很满足。
她的丈夫给他一张请帖,邀请她去参加舞会。骆塞尔太太为自己没有好看的衣服和昂贵的首饰而烦恼。
后来,他向伏来士洁太太借了一个用金刚钻镶成的项链。
舞会终于到来了,所有人的目光都聚集在骆塞尔太太的身上,一般男宾都望着她出神,探听她的姓名,设法使人把自己引
她跟前作介绍。本部机要处的人员都想和她跳舞,部长也注意她。她用陶醉的姿态舞着,用兴奋的动作舞着,她沉醉在欢乐里,她满意于自己的容貌的胜
利,满意于自己的成绩的光荣;满意于那一切阿谀赞叹和那场使得女性认为异常完备而且甜美的凯歌,一种幸福的祥云包围着她。所以她什么都不思虑了
舞会结束了,骆塞尔太太发现,项链丢在他们刚打的出租车。
骆塞尔太太为了换项链,做了整整十年的工,终于赚到足够的钱买一个新的项链。
可是,到最后,才知道,那串项链是假的,只值金法郎。
这件事告诉了我们,不要爱慕虚荣,贪图富贵。
今天在千月买的翡翠转运珠,请帮忙鉴定下价钱,谢谢
1、这类桶形珠,单珠,在广州华林玉器市场买,45克,10元到20元一颗,很确切能买到。带925银镶嵌,50到80元,也有把握买到。商场喜欢进这类廉价的真货,标价几千块,抽奖打一折销售,购买价值不高,须谨慎。
2、由于体量小,价值也不可能高,上游的集散地30,50,下游玉器市场200,300,大型商场常用此类品质挂坠搞抽奖活动,标价1800,2800云云,打上一折180,280出售。只能戴着玩玩,没什么收藏价值。
3、撇开链子不谈,纯粹论玉,目前玉器市场行情在200~300元上下为正常卖价。
4、你这是一款天然翡翠质地,糯种,糯白色,带淡灰油青色转运珠。真品无疑问,可以放心佩戴。该转运珠种嫩,棉多,水头一般,色泽平普。由于整体机械加工成型,并没有手工雕琢的成本投入。所以价格不高。
5、翡翠A货糯种路路通滚运珠吊坠,配925银。200元。
我想买几粒玉珠子配转运珠(黄金的)哪可以买到1、这个主要看选的转运珠有多少克。金价是/3000元/克左右,但是购买时间不同,金价会有浮动。
2、传说佩戴转运珠可以得到幸运女神的眷顾,增加好运,转走坏运,所以称之为转运珠,它一般是用黄金打造的形似黄豆、橄榄球形状的小珠子,中间是镂空的,所以重量都在03-3克之间。
3、一般在一些银行就可以买到黄金,有的银行是会销售黄金的,他们的黄金还是比较可靠的,纯度也是比一般的金店要纯的。所以我们想要购买黄金的话,还是应该去这种银行,这样是会比较靠谱的。
4、周大福未售出的黄金珠宝以旧换新,除了购买原黄金的20%的新黄金外,还需要支付40元/克的人工费。以旧换新除扣除损失外,还将收取人工费用。
5、购买黄金可以通过银行、交易所或者实体金店购买。具体方式如下:通过银行购买:携带现金或银行储蓄卡、存折以及身份证,前往银行,按照银行公布的价格购买金条。银行会为投资者开立发票、成交单等凭证。
北京在哪里能买到A货翡翠玉挂件求大神介绍北京最成熟的珠宝市场有在北四环的小营珠宝城,还有西城区的西单109婚庆珠宝大楼珠宝3-4层,有大钟寺的爱家收藏、羊肉胡同等等。
北京最有名的翡翠珠宝城就是北京国际珠宝交易中心(简称小营珠宝城)了,没事可以去逛逛,那里还行,什么档次的都有。
如果想性价比高,可以到北四环小营珠宝城,1层是专门卖黄金首饰的,2层-5层全部都是卖翡翠和和田玉的,不过记住了都要玩命的砍价(都有证书的)可以现场鉴定,保证是A货。
我觉得在哪里买都让人担心,必须找懂行的看看。要买就到北四环小营珠宝城2层的璞谷翡翠大商城会好点。
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北京卖玉的地方多,羊肉胡同可以去转转,大商场建议就不要去了,我记得我在广州花100元买的挂件,在恒昌珠宝里面标价1580,太黑了。
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