陈冠希曾是港台地区知名艺人,于1999年正式于香港娱乐圈崭露头角,曾拍摄多部**,发过多张专辑,其抢眼的外型和本身对于演艺事业的用心,使得他在非常短的时间之内汇集所有的话题与人气,迅速成为新生代的超人气小天王。2007年底,因与多名女明星的自拍艳照被神秘人士公布,成为沸沸扬扬的“艳照门”事件舆论核心人物,并为之宣布退出香港娱乐圈,从而转向好莱坞发展,虽然事业不见起色,但依然是公众关注的对象。个人履历 写真(10张) 语言: 英文, 日文, 粤语, 国语 学历: Grade1-5 (温哥华) Grade6-10 (香港) Grade11 (纽约) Grade12 (温哥华) Grade13 (香港) 中学毕业 嗜好: 唱歌 打篮球 捽碟 喜欢自己一个人运动(比较舒服,没有人看着,比较没有压力) 信仰宗教:基督教(陈冠希于2008年2月在美国结识了马正远牧师(Jaeson Ma 出席慈善筹款揭幕礼(13张) ,马时亨侄儿),在接受马牧师传教后成为基督徒。陈冠希信耶稣的新闻于2008年4月为《东周刊》所报道,其后为马牧师的博客日志所转载。) 宠物: Chico, Mitsou, Tenshi 喜爱的艺人:Allen iverson、迈克尔杰克逊、R Kelly、王菲、郑秀文、成龙、张国荣、Eminem、Jay-z、Kanye West、Janet Jackson、ladygaga 招牌动作:经典C手势,歪嘴笑,吐舌头,双手插袋 粉丝昵称:稀饭 MV花絮(15张) ,腊肠希 爱好:每个星期都有三四天去跑步和举重(觉得虽然上网很开心,还是鼓励年轻人应该多做运动)如果到外地工作吃了很多美食,之后会每天去健身房健身,保持身材 最喜欢的颜色:蓝色 血型:A型 最喜欢的食物:日本料理 最喜欢的音乐:R&B,Hip-Hop 最喜欢的舞蹈:Hip-Hop 最喜欢的饮食瘦身保养方式:水果,osli m20天然瘦身食品 最喜欢的城市:美国纽约 日本东京 最喜欢的动物:自己养的狗 最喜欢的饰物:钻石耳钉 卡地亚leve手镯(与杨永晴的定情信物) 最喜欢的杂志:太多不能尽录 最喜欢的品牌:undercover, neighborhood, number(n)ine 新专辑预购签唱会(16张) , bape,visvim,nike 最喜欢的**:英雄本色 星球大战 帝国骄雄 火拼时速 指环王 难忘经历 : 拍摄特警新人类2、第一次灌录唱片、深圳百事宣传活动 最漂亮的人:妈妈、碧昂丝·诺里斯 (Beyonce Knowles) 喜欢事物: 和平、开心 不喜欢的事物:高傲、战争 欣赏的人:苏致远 小霖 通讯地址:15/F, Crocodile House 1, 50 Connaught Road, Central, Hong Kong 心愿:成为一个出色的歌手和演员 擅长乐器:捽碟 编辑本段从业经历简介 陈冠希是张国荣亲自制作唱片的首位歌手,他年轻,长得帅,家境富裕,一夜成名,好象什么好运的事,都给陈冠希给碰上了。爱歪嘴笑,乱放电,绯闻多,好象各方面批评也有过了,爱他的人说他是率性,恨他的人说他太任性,陈冠希的真性情,必须要fans自己来感受。 陈冠希凭香港**《特警新人类II》令香港人认识。加入**圈初时,发展一般,其后获刘伟强赏识,饰演《无间道》中少年刘健明一角而崭露头角。在《无间道II》、《头文字D》、《江湖》、《狗咬狗》中担正为主角,演技受到肯定。无论是《千机变》中的吸血王子,还是《江湖》里的黑帮混混儿,每个角色都演绎得自然生动。特别在《狗咬狗》中的精彩演出可算其演绎代表作。之后更拍摄多部大片,参演好莱坞**《不死咒怨2》。一些香港报纸及多位资深导演与演员,公开称赞陈冠希是一位相当有潜质的年青演员,张学友及刘德华也都称赞他敬业。 Hip hop 歌手 虽然不少乐队如LMF多年前已经在香港推广Hip hop音乐文化,但亦未能兴起。于2004年,陈冠希与前 LMF成员MC yan、陈奂仁等合作,推出大碟《Please steal this album》,令人耳目一新,代表作有《香港地》。2005年他推出另一hip hop大碟《HAZY》,其中歌曲《嘥气》(嘥气为粤语用词,意指浪费气力),讲述他遇袭经过,其他多首歌曲亦表达他对社会文化的看法。
没有德文,莫泊桑是法人,只有法语希望喜欢^_^
[法语阅读] 名著:项链
La Parure
C'était une de ces jolies et charmantes files, knees, comme par une erreur du destin, dans une famille d'employés Elle n'avait pas de dot, pas d'espérances, aucun moyen d'être connue, comprise, aimée, épousée par un homme riche et distingué; et elle se laissa marier avec un petit commis du ministère de l'Instruction publique
Elle fut simple, ne pouvant être parée, mais malheureuse comme une déclassée; car les femmes n'ont point de caste ni de race, leur beauté, leur grâce et leur charme leur servant de naissance et de famille Leur finesse native, leur instinct d'élégance, leur souplesse d'esprit sont leur seule hiérarchie, et font des filles du peuple les égales des plus grandes dames
Elle souffrait sans cesse, se sentant née pour toutes les délicatesses et tous les luxes Elle souffrait de la pauvreté de son logement, de la misère des murs, de l'usure des sièges, de la laideur des étoffes Toutes ces choses, dont une autre femme de sa caste ne se serait même pas aperçue, la torturaient et I'indignaient La vue de la petite Bretonne qui faisait son humble ménage éveillait en elle des regrets désolés et des rêves éperdus Elle songeait aux antichambres nettes, capitonnées avec des tentures orientales, éclairées par de hautes torchères de bronze, et aux deux grands valets en culotte courte qui dorment dans les larges fauteuils, assoupis par la chaleur lourde du calorifère Elle songeait aux grands salons vêtus de soie ancienne, aux meubles fins portant des bibelots inestimables, et aux petits salons coquets parfumés, faits pour la causerie de cinq heures avec les amis les plus intimes, les hommes connus et recherchés dont toutes les femmes envient et désirent l'attention
Quand elle s'asseyait, pour dîner, devant la table ronde couverte d'une nappe de trois jours, en face de son mari qui découvrait la soupière en déclarant d'un air enchanté: «Ah! le bon pot-au-feu! je ne sais rien de meilleur que cela, elle songeait aux dîners fins, aux argenteries reluisantes, aux tapisseries peuplant les murailles de personnages anciens et d'oiseaux étranges au milieu d'une forêt de féerie; elle songeait aux plats exquis servis en des vaisselles merveilleuses, aux galanteries chuchotées et écoutées avec un sourire de sphinx, tout en mangeant la chair rose d'une truite ou des ailes de gélinotte
Elle n'avait pas de toilettes, pas de bijoux, rien Et elle n'aimait que cela; elle se sentait faite pour cela Elle eût tant désiré plaire, être enviée, être séduisante et recherchée
Elle avait une amie riche, une camarade de couvent qu'elle ne voulait plus aller voir, tant elle souffrait en revenant Et elle pleurait pendant des jours entiers, de chagrin, de regret, de désespoir et de détresse
Or, un soir, son mari rentra, l'air glorieux et tenant à la main une large enveloppe
-Tiens, dit-il, voici quelque chose pour toi
Elle déchira vivement le papier et en tira une carte qui portait ces mots:
"Le ministre de l'Instruction publique et Mme Georges Ramponneau prient M et Mme Loisel de leur faire l'honneur de venir passer la soirée à l'hôtel du ministère, le lundi 18 janvier"
Au lieu d'être ravie, comme l'espérait son mari, elle jeta avec dépit l'invitation sur la table, murmurant:
- Que veux-tu que je fasse de cela
- Mais, ma chérie, je pensais que tu serais contente Tu ne sors jamais, et c'est une occasion, cela, une belle! J'ai eu une peine infinie à l'obtenir Tout le monde en veut; c'est très recherché et on n'en donne pas beaucoup aux employés Tu verras là tout le monde officiel
Elle le regardait d'un oeil irrité, et elle déclara avec impatience:
- Que veux-tu que je me mette sur le dos pour aller là
Il n'y avait pas songé; il balbutia:
- Mais la robe avec laquelle tu vas au théâtre Elle me semble très bien, à moi
Il se tut, stupéfait, éperdu, en voyant que sa femme pleurait Deux grosses larmes descendaient lentement des coins des yeux vers les coins de la bouche; il bégaya:
- Qu'as-tu qu'as-tu
Mais, par un effort violent, elle avait dompté sa peine et elle répondit d'une voix calme en essuyant ses joues humides:
- Rien Seulement je n'ai pas de toilette et par conséquent, je ne peux aller à cette fête Donne ta carte à quelque collègue dont la femme sera mieux nippée que moi
Il était désolé Il reprit:
- Voyons, Mathilde Combien cela coûterait-il, une toilette convenable, qui pourrait te servir encore en d'autres occasions, quelque chose de très simple
Elle réfléchit quelques secondes, établissant ses comptes et songeant aussi à la somme qu'elle pouvait demander sans s'attirer un refus immédiat et une exclamation effarée du commis économe
Enfin, elle répondit en hésitant:
- Je ne sais pas au juste, mais il me semble qu'avec quatre cents francs je pourrais arriver
ll avait un peu pâli, car il réservait juste cette somme pour acheter un fusil et s'offrir des parties de chasse, l'été suivant, dans la plaine de Nanterre, avec quelques amis qui allaient tirer des alouettes, par là, le dimanche
Il dit cependant:
- Soit Je te donne quatre cents francs Mais tâche d'avoir une belle robe
Le jour de la fête approchait, et Mme Loisel semblait triste, inquiète, anxieuse Sa toilette était prête cependant Son mari lui dit un soir:
- Qu'as-tu Voyons, tu es toute drôle depuis trois jours
Et elle répondit:
- Cela m'ennuie de n'avoir pas un bijou, pas une pierre, rien à mettre sur moi J'aurai l'air misère comme tout J'aimerais presque mieux ne pas aller à cette soirée
Il reprit:
- Tu mettras des fleurs naturelles C'est très chic en cette saison-ci Pour dix francs tu auras deux ou trois roses magnifiques
Elle n'était point convaincue
- Non il n'y a rien de plus humiliant que d'avoir l'air pauvre au milieu de femmes riches
Mais son mari s'écria:
- Que tu es bête! Va trouver ton amie Mme Forestier et demande-lui de te prêter des bijoux Tu es bien assez liée avec elle pour faire cela
Elle poussa un cri de joie
- C'est vrai Je n'y avais point pensé
Le lendemain, elle se rendit chez son amie et lui conta sa détresse Mme Forestier alla vers son armoire à glace, prit un large coffret, l'apporta, l'ouvrit, et dit à Mme Loisel:
- Choisis, ma chère
Elle vit d'abord des bracelets, puis un collier de perles, puis une croix vénitienne, or et pierreries, d'un admirable travail Elle essayait les parures devant la glace, hésitait, ne pouvait se décider à les quitter, à les rendre Elle demandait toujours:
- Tu n'as plus rien d'autre
- Mais si Cherche Je ne sais pas ce qui peut te plaire
Tout à coup elle découvrit, dans une boîte de satin noir, une superbe rivière de diamants; et son coeur se mit à battre d'un désir immodéré Ses mains tremblaient en la prenant Elle l'attacha autour de sa gorge, sur sa robe montante et demeura en extase devant elle-même
Puis, elle demanda, hésitante, pleine d'angoisse:
- Peux-tu me prêter cela, rien que cela
- Mais oui, certainement
Elle sauta au cou de son amie, l'embrassa avee emportement, puis s'enfuit avec son trésor
Le jour de la fête arriva Mme Loisel eut un succès Elle était plus jolie que toutes, élégante, gracieuse, souriante et folle de joie Tous les hommes la regardaient, demandaient son nom, cherchaient à être présentés Tous les attachés du cabinet voulaient valser avec elle Le Ministre la remarqua
Elle dansait avec ivresse, avec emportement, grisée par le plaisir, ne pensant plus à rien, dans le triomphe de sa beauté, dans la gloire de son succès, dans une sorte de nuage de bonheur fait de tous ces hommages, de toutes ces admirations, de tous ces désirs éveillés, de cette victoire si complète et si douce au coeur des femmes
Elle partit vers quatre heures du matin Son mari, depuis minuit, dormait dans un petit salon désert avec trois autres messieurs dont les femmes s'amusaient beaucoup
Il lui jeta sur les épaules les vêtements qu'il avait apportés pour la sortie, modestes vêtements de la vie ordinaire, dont la pauvreté jurait avec l'élégance de la toilette de bal Elle le sentit et voulut s'enfuir, pour ne pas être remarquée par les autres femmes qui s'enveloppaient de riches fourrures
Loisel la retenait:
- Attends donc Tu vas attraper froid dehors Je vais appeler un fiacre
Mais elle ne l'écoutait point et descendait rapidement l'escalier Lorsqu'ils furent dans la rue, ils ne trouvèrent pas de voiture; et ils se mirent à chercher, criant après les cochers qu'ils voyaient passer de loin
Ils descendaient vers la Seine, désespérés, grelottants Enfin, ils trouvèrent sur le quai un de ces vieux coupés noctambules qu'on ne voit dans Paris que la nuit venue, comme s'ils eussent été honteux de leur misère pendant le jour
Il les ramena jusqu'à leur porte, rue des Martyrs, et ils remontèrent tristement chez eux C'était fini, pour elle Et il songeait, lui, qu'il lui faudrait être au Ministère à dix heures
Elle ôta les vêtenoents dont elle s'était enveloppé les épaules, devant la glace, afin de se voir encore une fois dans sa gloire Mais soudain elle poussa un cri Elle n'avait plus sa rivière autour du cou!
Son mari, à moitié dévêtu déjà, demanda:
- Qu'est-ce que tu as
Elle se tourna vers lui, affolée:
- J'ai j'ai je n'ai plus la rivière de Mme Forestier
Il se dressa, éperdu:
- Quoi! comment! Ce n'est pas possible!
Et ils cherchèrent dans les plis de la robe, dans les plis du manteau, dans les poches, partout Ils ne la trouvèrent point
Il demandait:
- Tu es sûre que tu l'avais encore en quittant le bal
- Oui, je l'ai touchée dans le vestibule du Ministère
- Mais si tu l'avais perdue dans la rue, nous l'aurions entendue tomber Elle doit être dans le fiacre
- Oui C'est probable As-tu pris le numéro
- Non Et toi, tu ne l'as pas regardé
- Non
Ils se contemplaient atterrés Enfin Loisel se rhabilla
- Je vais, dit-il, refaire tout le trajet que nous avons fait à pied, pour voir si je ne la retrouverai pas
Et il sortit Elle demeura en toilette de soirée, sans force pour se coucher, abattue sur une chaise, sans feu, sans pensée
Son mari rentra vers sept heures Il n'avait rien trouvé
Il se rendit à la Préfecture de police, aux journaux, pour faire promettre une récompense, aux compagnies de petites voitures, partout enfin où un soupçon d'espoir le poussait
Elle attendit tout le jour, dans le même état d'effarement devant cet affreux désastre
Loisel revint le soir, avec la figure creusée, pâlie; il n'avait rien découvert
- Il faut, dit-il, écrire à ton amie que tu as brisé la fermeture de sa rivière et que tu la fais réparer Cela nous donnera le temps de nous retourner
Elle écrivit sous sa dictée
Au bout d'une semaine, ils avaient perdu toute espérance
Et Loisel, vieilli de cinq ans, déclara:
- Il faut aviser à remplacer ce bijou
Ils prirent, le lendemain, la boîte qui l'avait renfermé, et se rendirent chez le joaillier, dont le nom se trouvait dedans Il consulta ses livres:
- Ce n'est pas moi, madame, qui ai vendu cette rivière; j'ai dû seulement fournir l'écrin
Alors ils allèrent de bijoutier en bijoutier, cherchant une parure pareille à l'autre, consultant leurs souvenirs, malades tous deux de chagrin et d'angoisse
Ils trouvèrent, dans une boutique du PalaisRoyal, un chapelet de diamants qui leur parut entièrement semblable à celui qu'ils cherchaient Il valait quarante mille francs On le leur laisserait à trente-six mille
Ils prièrent donc le joaillier de ne pas le vendre avant trois jours Et ils firent condition qu'on le reprendrait pour trente-quatre mille francs, si le premier était retrouvé avant la fin de février
Loisel possédait dix-huit mille francs que lui avait laissés son père Il emprunterait le reste
Il emprunta, demandant mille francs à I'un, cinq cents à l'autre, cinq louis par-ci, trois louis par-là Il fit des billets, prit des engagements ruineux, eut affaire aux usuriers, à toutes les races de prêteurs Il compromit toute la fin de son existence, risqua sa signature sans savoir même s'il pourrait y faire honneur, et, épouvanté par les angoisses de l'avenir, par la noire misère qui allait s'abattre sur lui, par la perspective de toutes les privations physiques et de toutes les tortures morales, il alla chercher la rivière nouvelle, en déposant sur le comptoir du marchand trente-six mille francs
Quand Mme Loisel reporta la parure à Mme Forestier, celle-ci lui dit, d'un air froissé:
- Tu aurais dû me la rendre plus tôt, car je pouvais en avoir besoin
Elle n'ouvrit pas l'écrin, ce que redoutait son amie Si elle s'était aperçue de la substitution, qu'auraitelle pensé qu'aurait-elle dit Ne l'aurait-elle pas prise pour une voleuse
Mme Loisel connut la vie horrible des nécessiteux Elle prit son parti, d'ailleurs, tout d'un coup, héroïquement Il fallait payer cette dette effroyable Elle payerait On renvoya la bonne; on changea de logement; on loua sous les toits une mansarde
Elle connut les gros travaux du ménage, les odieuses besognes de la cuisine Elle lava la vaisselle, usant ses ongles roses sur les poteries grasses et le fond des casseroles Elle savonna le linge sale, les chemises et les torchons, qu'elle faisait sécher sur une corde; elle descendit à la rue, chaque matin, les ordures, et monta l'eau, s'arrêtant à chaque étage pour souffler Et, vêtue comme une femme du peuple, elle alla chez le fruitier, chez l'épicier, chez le boucher, le panier au bras, marchandant, injuriée, défendant sou à sou son misérable argent
Il fallait chaque mois payer des billets, en renouveler d'autres, obtenir du temps
Le mari travaillait, le soir, à mettre au net les comptes d'un commercant, et la nuit, souvent, il faisait de la copie à cinq sous la page
Et cette vie dura dix ans
Au bout de dix ans, ils avaient tout restitué, tout, avec le taux de l'usure, et l'accumulation des intérêts superposés
Mme Loisel semblait vieille, maintenant Elle était devenue la femme forte, et dure, et rude, des ménages pauvres Mal peignée, avec les jupes de travers et les mains rouges, elle parlait haut, lavait à grande eau les planchers Mais parfois, lorsque son mari était au bureau, elle s'asseyait auprès de la fenêtre, et elle songeait à cette soirée d'autrefois, à ce bal où elle avait été si belle et si fêtée
Que serait-il arrivé si elle n'avait point perdu cette parure Qui sait qui sait Comme la vie est singulière, changeante! Comme il faut peu de chose pour vous perdre ou vous sauver!
Or, un dimanche, comme elle était allée faire un tour aux Champs-Elysées pour se délasser des besognes de la semaine, elle aperçut tout à coup une femme qui promenait un enfant C'était Mme Forestier, toujours jeune, toujours belle, toujours séduisante
Mme Loisel se sentit émue Allait-elle lui parler Oui, certes Et maintenant qu'elle avait payé, elle lui dirait tout Pourquoi pas
Elle s'approcha
- Bonjour, Jeanne
L'autre ne la reconnaissait point, s'étonnant d'être appelée ainsi familièrement par cette bourgeoise
Elle balbutia:
- Mais madame! Je ne sais Vous devez vous tromper
- Non Je suis Mathilde Loisel
Son amie poussa un cri
- Oh! ma pauvre Mathilde, comme tu es changée!
- Oui, j'ai eu des jours bien durs, depuis que je ne t'ai vue; et bien des misères et cela à cause de toi!
- De moi Comment ça
- Tu te rappelles bien cette rivière de diamants que tu m'as prêtée pour aller à la fête du Ministère
- Oui Eh bien
- Eh bien, je l'ai perdue
- Comment! puisque tu me l'as rapportée
- Je t'en ai rapporté une autre toute pareille Et voilà dix ans que nous la payons Tu comprends que ça n'était pas aisé pour nous, qui n'avions rien Enfin c'est fini, et je suis rudement contente
Mme Forestier s'était arrêtée
- Tu dis que tu as acheté une rivière de diamants pour remplacer la mienne
- Oui Tu ne t'en étais pas aperçue, hein! Elles étaient bien pareilles
Et elle souriait d'une joie orgueilleuse et naïve
Mme Forestier, fort émue, lui prit les deux mains
- Oh! ma pauvre Mathilde! Mais la mienne était fausse Elle valait au plus cinq cents francs!
17 février 1884
荆天明:十二岁。为人精灵古怪而又有些不知天高地厚,会一些三脚猫的功夫。他迷离的身世牵动着整 荆天明
片大地的风云变幻。他的父亲是书中的绝顶剑客荆轲,母亲是美貌的丽姬,不过他后来对盖聂敬仰,渐生父子之情。据官方人士透露,天明的武功似乎有很大潜力。武器是在墨家禁地中得到墨门至尊武器“非攻”,后又从墨家巨子手中继承墨家信物“墨眉”,必要时还会加上牙齿。喜欢高月。其领悟性极高。 盖聂:三十岁。纵横家,鬼谷派,气质从容淡定, 盖聂
处事冷静。被称为秦国最强剑客,在江湖上享有剑圣的名号,但却从秦国叛逃,带着故人之子天明,亡命天涯。剑术出神入化,佩剑渊虹(前身是墨家的残虹剑,曾是荆轲佩剑)。因他护驾有功嬴政将渊虹赐给他。绝杀技为百步飞剑,与端木蓉相互爱慕。渊虹是十大名剑之第二名剑(已被卫庄的鲨齿折断)。暂用木剑。 高月(姬如千泷): 蒙面的高月(姬如千泷)
十二岁。墨家,天真可爱,温柔婉约。是已亡国的燕国公主(封号高月公主)。和普通人一样过着平常的生活,但言谈举止间却有一股与生俱来的高贵气质,她精通药理,是端木蓉的得力帮手,暂时并没有武功,但是在阴阳巫术方面有着非比寻常的天赋。与天明互相爱慕。 项少羽
项少羽:十四岁。兵家,动画片中为项羽的少年时期(官方人士说他似乎有很大的潜力),楚国名将项燕之后,天赋异禀,有千斤拔鼎之神力。智勇双全,但很恐高,已克服。年纪虽小,临阵决敌却已有大将之风,是天明的好朋友,同时也是竞争对手。在《夜尽天明》中,于墨家禁地得到破阵霸王枪。 墨家 天下皆白,唯我独黑,非攻墨门,兼爱平生。 端木蓉:二十四岁。气质清冽如霜,,冷若冰霜,但医术高超, 端木蓉
墨家医仙,墨家五首领之一,独居在风景秀丽的镜湖药庄,武器是银针。对来自秦国的盖聂有强烈的敌意,深入接触后逐渐对盖聂产生好感。并在墨核中为救盖聂而身受重伤,正接受荀子的治疗。 高渐离:二十八岁。墨家第二高手,其武功次于墨家巨子。墨家五 高渐离
首领之一。被墨家众人称作“小高”。气质忧郁高雅其击筑曲目“阳春”与雪女的歌声“白雪”合称“阳春白雪”在燕国堪称一绝。当年与荆轲一见如故,结为知己,后易水河畔一首“风萧萧兮易水寒,壮士一去兮不复还。”流传千古,使用武器为名剑水寒,剑谱第七,绝杀技为易水寒。 雪女
雪女:字数过多已转移 徐夫子:六十八岁,枯瘦老者,著名的铸剑师,精通采五金融和青铜的冶剑技术,举世闻名的神剑墨眉就是出自他的手中。“渊虹”是他母亲的作品,而“鲨齿”是他父亲的作品,二人都是有名的铸剑师。他一直渴望在有生之年,能够炼出一把超越渊虹的神兵利刃。 盗跖:二十岁。青年,原名展雄,又名柳下跖,历史上为春秋、战国之际的奴隶起义领袖。墨家五首领之一。天下第一神偷,身材纤瘦,擅长飞檐走壁,轻功卓越,生性油滑,爱慕端木蓉。虽然嘴巴不干净,但危难时刻绝不临阵脱逃,讨厌孔子以及儒家的那些大道理,绝招电光神行步。他身受重伤时被端木蓉所救。 大铁锤:三十五岁,身材异常魁梧,墨家中性格最为急躁爆烈的男子,墨家五首领之一。使用一柄带有链条的巨型大铁锤,原本是燕国的下级军官,由于脾性难以与同僚相处,屡遭迫害,险些在战场上作为诱饵牺牲掉,被墨家巨子救出,从此死心塌地追随。被通缉。 班大师:字数过多已转移 墨家巨子(燕太子丹):指传位于天明的上一任墨家巨子。字数过多已转移 庖丁: 字数过多已转移 公输家(霸道机关术) 公输仇:四十八岁,霸道机关术新一代掌门人。据传他对机关术的精通程度,已经接近公输家族的祖师爷——公输般大师(鲁班)。为人阴险狡诈,造出了蛇形机关兽。公输仇把机关杀伤力的进攻部份极度强化,这就是所谓的霸道机关术。 楚国(项氏一族)(兵家) 范增:七旬老者,是项少羽兵法上的启蒙老师,也是日后协助项少羽成就霸王职业的重要谋士,为人老谋深算、审时度势、洞察敏锐,可说是秦末不可多得的军事谋略奇才。 项梁:楚国项氏一族,项羽的叔父,其人生性豪放,骁勇善战。楚灭后他凭借昔日在吴中的威望,广纳贤士、暗中招兵买马、训练子弟,为日后项家举事、成就霸业奠定了至关重要的基础。
东皇太一:阴阳家最高头领,武功深不可测,谜一般的人物,人前总是带着黑色的面具,一身黑袍遮身。似乎是本片终极BOSS。 云中君:阴阳家长老之一,醉心于丹药之术,并且小有成就,因此备受一心想要求取长生不老的秦皇所器重。 月神:秦始皇最信任的阴阳家大巫。精通占星,具有预感能力,同时还有控制他人精神和未可知强大破坏力,对天明下了阴阳咒印。她与姬如千泷(高月)同姓,都姓姬。 大司命:大司命与少司命同为阴阳家一等一的高手。妩媚妖娆,因练阴阳合手印导致双手呈红色,也增添了阴阳家的诡异神秘感。出手辛辣狠毒,计谋充足。前任墨家巨子燕太子丹就死于此人之手。 少司命
少司命:阴阳家令人闻名丧胆的死亡使者之一。性情冷漠,有着与年龄不相符的高深武功。总是以面纱遮面,传说她美若天仙,但这世上还没有人见过她面纱之下的真实面目(面纱为透明状,令人浮想)。 星魂:字数过多已转移
聚散流沙(刺客组织)
卫庄: 卫庄
三十岁。盖聂同门师弟,同样是鬼谷派纵横剑法的传人,聚散流沙首领。鬼谷派是一个奇特而又神秘的门派,每一代只收两名弟子,而这两名弟子从一开始就是敌对,他们中间必定要决出胜负,最后只有一个人能留下。浑身充满邪气与霸气,武功深不可测,最大的目标就是击败盖聂,继承鬼谷绝学。他使用的武器是妖剑鲨齿。《诸子百家》最后一集中与张良相见,两人情况不得而知。 赤练:二十四岁。卫庄手下四天王之二。妩媚妖娆的她精通各类毒术,可以控制各类毒蛇,而她的性感往往比毒药更加危险,她的火魅术可以迷惑看见她双瞳的人,使之产生幻觉。武器是腰间盘绕的链蛇软剑。 白凤凰(白凤):十八岁。青年,卫庄手下四天王之首。神秘的美男子。时常驾驭着白色的巨鸟在天空飞过,轻 白凤凰
功卓越,能够借助羽毛在天空翱翔。可以控制鸟类,甚至能对话。用羽毛袭击人或是控制鸟类袭击人,偶尔用羽刃。绝杀技为凤舞六幻。 无双鬼(机关无双):二十六岁,卫庄手下四天王排名第四。一丈多高的巨人,凶狠残暴,形状恐怖,天生怪力,皮肤坚硬如盔甲,寻常刀剑无法伤及。无双鬼在秦时明月第一部百步飞剑中被盖聂杀死后,公输仇见无双鬼的骨骼、肌肉格外强硬,很适合做机关,便把无双鬼改造成了机械人,即机关无双。 苍狼王:三十五岁,卫庄手下四天王排名三。一身黑衣,性情孤僻凶残,狂野坚忍,与狼共居,喜欢在黑夜里行动。始终戴着半截绿眼面具,拥有和狼一样的夜视能力。他曾经为韩废王姬安(因为是韩氏所以亦称韩安)效命,韩国灭亡后神秘失踪,之后加入了卫庄的刺客团。他憎恶人类,只和狼群亲近,认为狼是唯一的朋友。 隐蝠:真实年龄不明,原是蛮疆土人,后被父母抛弃山林,流离与乱世,十年来一直隐居南疆修习蝠血术。蝠血术是一种南疆秘传杀人术,修炼时需将蝠血注入体内运转至周身经脉各处。隐蝠这十年来每天与南疆矛头血蝠生活在地穴之中,如今已是个半人半蝠的怪物。 墨玉麒麟(黑麒麟、麟儿):卫庄手下刺客团逆流沙(流沙组织之一)的第一杀手。春秋时期神隐之女,行踪莫名,据闻可变换千种容颜。潜入各种隐秘之所,世间无她所不知,无她所不晓,更无人见过其真面目,千种变化亦为其千种身份,行踪诡异,不可捉摸。作为韩国刺客团的第一杀手,卫庄对他的赏识几乎无以复加,曾誉其为“天下第一杀手”。 (姓名来源于江湖中所传称号:月黑风冷、索命无形、千变莫名、墨玉麒麟。) 秦朝 秦始皇嬴政:嬴姓,赵氏,名政。中国第一个统一天下的皇帝。自从十三岁即位后,二十二岁举行成年冠礼后,他以卫鞅、韩非的法家学说为主,又兼采阴阳家和儒家学说帮助自己行政,开始了他野心勃勃,兼并六国一统天下的征服之旅。身材不高,颇有气度,善用各国能人作为秦的重臣,赏罚分明,对有功者奖赏优厚慷慨,对违法者极度残忍严酷。 李斯(字通古):秦国宰相,法家传人,也曾为儒家荀子的弟子,后因害死韩非,被荀子厌恶。处事干练,心思慎密。提出“以江湖对江湖”的计策,诱使卫庄出山对付盖聂。一心辅佐秦王统一天下。 蒙恬:姬姓,蒙氏,名恬。出类拔萃的年轻武将,兵家,智勇双全,十七岁成名,屡获战功,个性张扬,喜欢夸张华丽的排场,手下的嫡系卫队都是清一色的红色盔甲,称为黄金火骑军。他南征北战,名震中原,深得秦始皇帝的重用。 王翦:姬姓,王氏,名翦。属兵家,秦代杰出的军事家,是继白起之后秦国的又一位名将。与其子王贲在辅助秦始皇统一六国的战争中立有大功,除韩之外,其余五国均为王翦父子所灭。少羽的祖父项燕也是被他斩杀的(一说项燕自杀)。 扶苏:秦始皇长子,嬴姓,名扶苏。是秦朝统治者中具有政治远见的人物,在赶路的路上被山贼盯上,偶然路过的天明和荀子帮其解围,他恩怨分明,即使没有被告知恩人的姓名仍对恩人怀有知恩图报之心。 楚南公:昔日楚国第一贤者,楚亡国之时曾说过:“楚虽三户,亡秦必楚”这般的豪言壮语。然而如今,不知为何他竟摇身一变,俨然成了李斯的门客,似乎与星魂不和。 赵高:第四部《万里长城》里登场的人物。
罗网(赵高手下刺客团)
转魄、灭魂:双胞姐妹,佩剑分别为“转魄”、“灭魂”,因其相差无二的样貌,擅长迷惑、牵制敌人,往往在目标还没有搞明白状况之前既已遭其暗算。 真刚:六剑奴中的***物,佩剑“真刚”,剑术刚猛,擅长正面直击,一招之内消灭目标有生力量。 断水:达到了心眼境界的蒙眼老者,六剑奴中最深不可测的一个,佩剑“断水”,谋定后动的计划制定者,擅长隐形技能,能取人性命于无形。 乱神:正如他的佩剑“乱神”那样周身透射着邪气的男人,他嗜血残忍,不屑于遵守人类的任何法则,可以为达目的不择手段,被这样的杀手盯上,怎么个死法都不会是种意外。 魍魉:佩双剑“魍”、“魉”的少年剑客,擅长轻功,剑法轻灵快速。为人落拓不羁,成为杀手也不过是为了游戏人生。 以上六人为罗网六大高手六剑奴,第四部中的新人 燕国 燕太子妃:高月的母后,燕太子丹的妃子,美丽高贵,与阴阳家有莫大的关系。 雁春君:姬姓。十分注重自己的仪表风度,讲究极其奢华富贵的排场,素来都以自己的权势和地位为所欲为。非常横行霸道,传说得罪过他的人都没有好下场,连高渐离也被他的手下绝影揍过。曾送给雪女一对手镯。最后死于雪女的凌波飞燕。 晏懿:燕国将领。奸诈狡猾,仗着自己位高权重欺压善民。性格轻佻傲慢。欺软怕硬。 绝影:雁春君的手下,专门帮雁春君杀对自己不利的人,武功高强。死于高渐离剑下。 阿纲:字数过多已转移
鬼谷派(纵横家)
鬼谷子王诩:纵横家,鬼谷派。江湖中泰山北斗级的前辈人物,盖聂与卫庄的师傅, 纵横家上一任的掌门人。因隐居鬼谷之中,而被称为“鬼谷子”。其人精通纵横之术,对兵法、奇门八卦、天文地理都广有涉掠。
医家
念端:端木蓉师傅,女性,第二部人物,出现在端木蓉的回忆中,已故。 道家 逍遥子:道家人宗掌门人,行踪飘忽,神龙见首不见尾。佩剑是十大名剑排名第六的雪霁。
儒家
伏念:儒家掌门人,推崇王道治国,独创圣王剑法,外形高雅,气度不凡,非常有深度和内涵。对于儒家学说和天下事有着强烈的使命感,并一直努力将儒家及儒家思想发扬光大。为人刚正不阿,有大将风范,佩剑为太阿,十大名剑之第三。 颜路: 儒家第二高手,与师兄伏念、师弟张良并称齐鲁三杰。从小就一直生活在伏念耀眼的光辉之下,幸好他并没有强烈的争强斗胜之心,安之若怡,从无攀比之心,处世为人淡泊,有著孔子所遗留下来的品质。 颜路在师弟张良的劝说与恳求下同意帮助墨家,从此一场无休止的争斗开始了…… 张良(字子房):天资聪慧,未卜先知,与墨家和项氏一族共同抗秦。据他所说天明会欠他七个人情(片中为儒家弟子的三师公)。虽身为儒家弟子,却与墨家慷慨济世的教义相投。 荀子:字数过多已转移
名家
公孙玲珑:能言善辩的名家继承人。公孙龙的后人,身形庞硕,说话却矫揉造作,喜欢以面具掩面,对自己的美貌甚为自信,这一点往往让旁人哭笑不得,最忌讳别人说自己胖。 农家 黑剑士胜七:黑皮肤,此人多次被七国捕获,入狱后又屡次在法场行刑时将刽子手杀死逃离。江湖中见其人如见鬼神。冷血、残忍,将打败所有强者作为人生目标,败在他手下的剑客数不胜数。江湖中传言,他在七国被捕时,身上就被刻下七国的文字,被嬴政捕获。后嬴政听取李斯建议,放他出来追杀盖聂和天明。
其它
荆轲:中年。荆天明的父亲。高渐离的好友。战国末期卫国人,喜好读书击剑,为人仗义豪爽,结识了许多豪侠义士。后受燕太子丹之托入刺杀秦王,未遂,被秦始皇手下四大高手“风林火山”所杀。 丽姬:中年。荆天明的母亲。受到秦始皇帝的爱慕,成为始皇的爱姬。荆轲刺秦死后服毒自杀。在秦时明月第一部的《月光》MV中出场。 旷修:秦国著名乐师,与荆轲、高渐离是朋友。是一个醉心于音乐,性格爽直而不谙世故的人。因为协助秦国叛将逃离国境而获罪,成为阶下之囚。他的琴艺超凡绝伦,在音乐的领悟上天下间恐怕已无人能望其项背。
石兰:墨家庖丁的客栈中打杂的小伙计,外表柔弱但武功高强,轻功卓越,身手敏捷,出手速度极快,与蜀山有很大渊源。懂得巫术与少许的阴阳术。在看到海面的仙山后落泪。
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